Opinion libre - LE PRÉSIDENT SAMBI EST DANS UN BATEAU IVRE, LE TITANIC. C'EST LE SAUVE QUI PEUT. Partagé entre les traîtres qui v...
Opinion libre - LE PRÉSIDENT SAMBI EST DANS UN BATEAU IVRE, LE TITANIC. C'EST LE SAUVE QUI PEUT.
Partagé entre les traîtres qui veulent sa mort pour s'approprier les meubles et les incompétents qui creusent sa tombe, Sambi ne sait pas quel saint s'adresser.
Entre son poulain Fahamwe, prince sans royaume qui fait semblant de le soutenir et qui passe son temps au Maroc auprès de sa nouvelle épouse marocaine et qui simultanément envoit des émissaires notamment le très puissant Mohamed Sagaf ainsi que d'autres dinosaures de la classe politique pour une médiation auprès du président Azali et le gouverneur Salami qui l'a poussé à revenir aux Comores avec l'espoir d'un soutien infaillible de la population pour empêcher son audition et sa prochaine inculpation pour detournements des fonds de la citoyenneté économique et haute trahison, se rend compte qu'il a été traîné dans un sable mouvant.
Il en veut à Salami et s'est confié à des proches qu'il aurait dû suivre le conseil de Fahamwe qui lui a recommandé de ne pas rentrer aux Comores.
Conscient des risques encourus par leur fraude et vente des passeports diplomatiques comoriens à la mafia, fahamwe a compris qu'il n'est pas bon de revenir au bled avant la fin du régime Azali.
Sambi a pris conscience du piège tendu lorsqu'il s'est rendu compte qu'il ne peut se rendre à Anjouan et quitter le territoire national. Après son audition par les gendarmes de la brigade de recherches, ces derniers ont refusé de poser une photo que Sambi leur a demandée de prendre avec lui pour faire partager dans les réseaux sociaux.
Il a compris que le temps n'est pas au populisme mais à l'action judiciaire.
YA ROIBBY.
Par Chathoi Abdou