Certes sous les régimes précédents, les Comores n'ont pas connu mieux en matière de progrès et de justice sociale. Cependant, for...
Certes sous les régimes précédents, les Comores n'ont pas connu mieux en matière de progrès et de justice sociale.
Cependant, force est de constater que depuis la nomination de Mohamed Daoudou alias Kiki au poste de ministre de l'intérieur, il règne un climat de désordre permanent. Une régression des droits fondamentaux (démocratie, libertés). Les expéditions punitives des forces de l'ordre. Les incursions du ministre de l'intérieur pour intimider et étouffer l'opposition laissent croire à un État voyou où le caïd le plus endurci impose sa loi.
Quel dommage, qu'àpres un siècle et demi d'exploitation sous l'ère colonial, ensuite, une décennie de dictature sous l'ère des mercenaires et une courte durée d'un semblant de démocratie, on se retrouve aujourd'hui à vivre avec la peur, les intimidations, les menaces, l'injustice, bref la dictature.
Peuple comorien! réveillons nous. Le monde évolue et nous faisons partie du monde.
Ben Ali Mbae