1-Les ASSISES venaient de passer. Le résultat et les sommes engagées reflètent une désinvolture sur la gestion publique. 2- Une commi...
1-Les ASSISES venaient de passer. Le résultat et les sommes engagées reflètent une désinvolture sur la gestion publique.
2- Une commission parlementaire venait de passer. Elle enquêtait sur la loi controversée de la citoyenneté économique (CE). Le résultat et sa publication en catimini laissent à désirer. La procédure de publication et le silence au sommet de l'État présage de sérieux doutes sur l'avenir judiciaire de ce dossier.
Et surtout, sur ce que l'État peut tirer en termes de bénéficie (s'il se fait rembourser) et de conséquence politique (s'il pose clairement la notion d'inéligibilité avec des critères incitant à la probité).
Et surtout, sur ce que l'État peut tirer en termes de bénéficie (s'il se fait rembourser) et de conséquence politique (s'il pose clairement la notion d'inéligibilité avec des critères incitant à la probité).
3- C'est en ce sens que j'interroge ceux et celles qui s'y connaissent en profondeur sur les textes de loi en Union des Comores. Je voudrais savoir s'il existe des critères qui empêchent les voleurs et tricheurs des biens publics à ne pouvoir concourir au suffrage du peuple des Comores. Le législateur ne doit il pas se ressaisir afin de renforcer la procédure pour entraîner un coup de ballet politique ?
Y a t-il déjà eu un ou des députés qui se sont permis des propositions des lois en ce sens ?
Sinon, nous risquons de faire prospérer les responsables élus sous des critères tintins et des gestions publiques à donner le tournis.
NB: J'appelle à une coalition de la société civile pour porter cette affaire de la citoyenneté économique en justice (un clin d'œil d'appel à certains avocats pour nous épauler). Par Nourdine Mbae