Des rumeurs à Moroni font état des poursuites judiciaires contre des personnes, notamment des ressortissants comoriens établis en France ...
Des rumeurs à Moroni font état des poursuites judiciaires contre des personnes, notamment des ressortissants comoriens établis en France et à Mayotte pour apologie à la tentative d'attentat à l'aéroport de Mohéli qui a failli coûté la vie aux passagers et notamment au Chef de l'Etat Azali Assoumani du vol Inter Îles.
La question qu'on se pose est de savoir si une telle initiative est juridiquement et techniquement possible dans la mesure ou les auteurs de ces infractions agissent souvent Avec des pseudonymes.
Si pour le cas de La France une telle action paraît très difficile à lancer, pour le cas de Mayotte, territoire des Comores, il serait possible de les faire citer à comparaître devant le tribunal de Moroni et les juger même en leur absence.
La décision de culpabilité pourrait alors être exécutée dans le cadre d'un mandat d'arrêt. Ça serait une bonne chose car certaines personnes se croient à l'abri de toutes poursuites et continuent à se servir des réseaux pour faire l'apologie des crimes, à insulter et diffamer les dirigeants et les autorités comoriennes.
Nous sommes nombreux à se poser des questions sur l'inertie dont font preuve les personnes victimes de ces violences car comment tolérer les appels aux meurtres, à La déstabilisation des Comores, à l'atteinte à la sûreté de l'Etat lancée par des comoriens établis à La Réunion, Mayotte et en France. Nakidine Hassane