Décidément on a beau bougé la quadrature du cercle, remué ciel et terre dans tous les sens rien n'y fait on aboutit toujours au même p...
Décidément on a beau bougé la quadrature du cercle, remué ciel et terre dans tous les sens rien n'y fait on aboutit toujours au même point qui établit le même constat et conduit à la même lecture des faits constatés le coup d'état est bien en marche.
Le colonel putschiste est à la manœuvre. Sa machine infernale semble avoir atteint sa vitesse de croisière. Son carburant s'avère être les assises nationales pensées et conçus auparavant pour venir consolider la démocratie d'une part et parachever la réconciliation nationale afin de permettre au pays de retrouver toute sa cohésion, son unité de vue et toute son harmonie condition préalable pour pouvoir jeter les bases d'un futur meilleur et dessiner les contours d'un Comores conquérant.
Hélas ça c'était avant au moment ou le promoteur de cette belle idée l'honorable citoyen Ali BAZI selim avait encore la main ferme sur LA barre. Un homme à qui je reconnais loyauté, honnêteté et intégrité qui n'aurait jamais cautionnée une telle mascarade une telle bouffonnerie digne des fourberies de Scapin " Que suis-je donc venu faire dans cette galère ". La volonté affichée du colonel est de suspendre toutes les institutions de LA république afin de concentrer tous les pouvoirs entre ses mains, Un homme qui ne détient que 14% de l'électorat, élu par défaut m, bénéficiant des circonstances exceptionnelles.
Cet homme est persuadé que nous sommes incapable de voir son glissement subtile et progressif vers une dictature dissimulée sous les habilles propres d’Un régime républicain. Mais en réalité c' est méconnaître le peuple Comorien; c'est d' ailleurs une insulte à son intelligence qui depuis des décennies à su déjouer tous les pièges qui lui eétaint tendus et toujours réussi à se défaire de tous les régimes parasitaires et toxiques animés de même intentions sordides, funestes et diaboliques.
Autour du colonel Putschiste tous ses complices conspirationnistes et comploteurs compulsifs. Les mêmes mauvais génies qui étaient il y a encore quelques mois à peine dans le 1er cercle de l’ancien régime Les revoilà tous attablé au banquet des affamés autour d' un menu gargantuesque dont le coup financier donne le tournis 360 millions voilà le coups estimé de ses assises de la discorde. Nombreux parmi nous avons pensé avoir tourné la page des coups d'état et les intrusions des mercenaires dans la conduite des affaires de la cité.
Nous avions tout simplement omis que certains parmi-nous sont des effluves du Mercenariat international imprégnés de cette culture d'homme sans foi ni loi mais juste déguises en col blanc. Car n' en douter pas , c'est un virus mutant des hommes qui ont cette capacité d'être des polymorphe, des épigones du Mercenariat qui ont en commun entre autre cette allergie à toute forme de démocratie.
Ainsi on dit à vouloir laver la tête d un âne on y perd sa lessive. Car il y a des vices qui ne tiennent à nous que par d'autres, et qu'en ôtant le trône, ils s' emportent comme des branches. Dès lors , il nous faut sortir de notre zone de confort car IL y a un temps pour se larmoyer et un temps pour agir. Et sachez que l' histoire s'arrête quand l'homme n 'agit pas. Nous ne pouvons accepter de revivre le cauchemar imposé par les mercenaires de 1978 à 1989. L'homme que le soleil à brûler connaît la valeur de l'ombre. La démocratie est une valeur cardinal irréversible au regard des comoriens QR la justice est un duel et non un procès il nous faut livrer LA mère de toute les batailles pour la mériter et conserver le bonheur de vivre sous le parapluie d un régime démocratique et républicain. LE régime du colonel putschiste danse sur le fil du rasoir.
C'est un régime qui tire sa source d'inspiration Dans la perversité plutôt que dans la grandeur de l'esprit humain. Un pouvoir qui au fil du temps et devenu acide et hérissé de piquants entre les mains des hommes avides, rapaces, voraces des lucres. Une situation qui heurte le sens commun.Il nous faut mettre a terre les diables qui nous torpillent. Dans le cas contraire, ce serait un espèce d' acte manqué, d'un devoir non accompli m, d' un rendez-vous lamentablement raté avec l' histoire. Voyez-vous , la raison n est raison qu’autant qu'elle nous touche , il faut des bonnes raisons pour vivre qu’il n en faut pas pour mourir.
Cette situation qui fait éclore tant de sentiments d injustice, de mépris et de violences ne peut demeurer immuable. OR il y a du sacré dans les larmes versées par notre peuple ; c'est indiscutablement la marque de son indicible Amour qu' il nourrit pour le pays d'une part et son incommensurable souffrance et chagrin endurées durant toutes ces années cauchemardesques .C'est dans ce sentiment d’ambivalence que je fonde mes espoirs pour une probable résilience de notre peuple.
J’ai confiance à sa capacité de faire voler en éclat toute les certitudes funèbres de nos bourreaux et tous les paradigmes qui nous maintiennent calfeutrés dans ce système inhumain , répugnant et détestable. Les convulsions du désespoir et de la souffrance endurée passeront comme tant d autres et finiront par faire place nette à l'espoir, au goût retrouvé et à la volupté de la vie.Pour y parvenir il faut oser faire peur à la peur et ne laisser place qu' à L envie au désir de vivre.
Sachons in fine que le cheminement n’est pas un long fleuve tranquille. Des obstacles subsistent le 1er d’entre eux c’est AZALI ASSOUMANI.
C’EST POUR CELA QUE AZALI DOIT DÉGAGER ET MAINTENANT POUR PERMETTRE A L’ARCHIPEL DES SULTANS BATAILLEURS DE SURVIVRE.
PAR KAMAL ABDALLAH