Député suppléant de Fahmi Said Ibrahim, Tocha Djohar a rejoint le palais de Hamramba en tant que Député de la 19eme circonscription composé...
Député suppléant de Fahmi Said Ibrahim, Tocha Djohar a rejoint le palais de Hamramba en tant que Député de la 19eme circonscription composée de 14 village. Il s'est fixé comme objectif de travailler en toute transparence, honnêteté et respect des engagements de la IX législature.
Dans cet article, c'est avec plaisir de vous adresser son bilan de mandat pour sa première législative. Même s'il est relativement complet, ce passage ne se veut ni parfait ni exhaustif. C'est un éclairage sur l'action qu'il a bien voulu mené tant à l'Assemblée de l'Union (travaux en séance, en commission.. ) que sur le terrain (intervention, visite d'entreprise, permanence, rencontre...). Ceci prouve qu'il a dépensé son corps sans compter pour mériter la confiance que la région d'Itsandra nord lui a témoigner et l'honneur qui est le mieux de vous représenter.
UN DÉPUTÉ LIBRE DE SES VOTES
Le député Tocha Djohar a toujours fait foi de conviction et de respect de sa formation politique, le parti du peuple (Juwa). Il a toujours voté en âme et conscience en dehors des jeux récusant la posture de ceux qui votent toujours pour la "majorité" ou toujours pour "l'opposition". Les parlementaires examinent sûrement trop de lois. Très actif et présent à l'Assemblée de l'Union, Tocha Djohar, participe à des nombreux travaux législatifs à chacune des étapes de la procédure parlementaire. Il a toujours respecter ses engagements en conservant sa liberté de vote, libre et indépendant.
Récusant de principe de ceux qui votent toujours "pour" parce qu'il ils sont de la majorité de ceux qui votent toujours "contre" parce qu'il sont de l'opposition.
UN DÉPUTÉ IMPLIQUE ET PRÉSENT
Parmi les élus les plus actifs, productif sur les 33, engagé pour défendre les causes de la liberté fondamentale, détournement des deniers publique. Son combat pour le bien être du peuple comorien, a pour fruit la dissolution de la Camuc au profit de la naissance de l'ocopharma. C'est une victoire pour le citoyen.Le feuilleton Ab Aviation et l'Anacem sous les commandes de l'ancien Directeur Général Jean Marc Heintz. Un différend qui a failli couler cette compagnie aérienne national, qui a été dans une stade embryonnaire. Il a fallu l'intervention de l'Assemblée de l'Union et la détermination du Député Tocha Djohar pour sauver cette société.
Si aujourd'hui Ab Aviation survol le ciel comorien, le représentant de la région d'itsandra nord a joué un rôle déterminant malgré les suspicions infondées.
Le rôle du député : réconcilier les citoyens avec la vie politique demeure un combat important pour le cet élu. Cela passe par le travail et la transparence, Tocha Djohar n'a eu de cesser de faire les deux, se battre pour les dossiers qui lui tiennent à cœur et communique sur son action publique.
Le député a pris à coeur sa mission de législateur en s'impliquant sur trois volets qui structurent le pouvoir législatif.
- Le député vote les lois
- Le député contrôle l'action du gouvernement
- Le député reste à l'écoute de la population
UN DÉPUTÉ PROCHE DE NOUS
très présent sur le terrain et investie dans chacun des dossiers de la circonscription. Le député Tocha Djohar a œuvré activement à des résolutions des conflits. On peut citer celui qui opposé Tsidje et Salimani dans sa circonscription. Celui de Djoumoichongou opposé à certains villages, tous ces différends ont enregistré l'implication de son représentant légitime.Sa proximité avec sa circonscription, est approuvé par le fait d'adresser ses meilleures vœux de bonheur, prospérité. A cette occasion, il a sollicité un encadrement pour les jeunes sans emplois.
Tocha Djohar a un qualité d'un communicant accessible. C'est un fervent défenseur de la liberté d'expression surtout dans une période où la presse national est muselé par le pouvoir central. Dans un courrier conjoint adressé au ministre de l'intérieur et celui de la justice, en date du 30/01/2017, attire l'attention sur la fermeture de la station Labaraka FM.
Saïd Bacar, un jeune de la région d'Itsandra ©Nakidine