Depuis quelques mois, Me Said Larifou est devenu la cible privilégiée des sambistes. Les attaques ne sont plus axées au niveau politique ma...
Depuis quelques mois, Me Said Larifou est devenu la cible privilégiée des sambistes. Les attaques ne sont plus axées au niveau politique mais sur le plan privé et professionnelle.
D'autres flèches sont relayées par de pseudos indignés qui, sous commande, profèrent des insultes gratuites croyant avoir l’intelligence des réseaux sociaux.
Adeptes de "fake news", ils véhiculent de fausses informations pour nuire leurs cibles en sachant qu'avant toute réaction, le mal est fait.
Ainsi, la technique consiste à tromper le comorien et à le manipuler pour lui faire avaler qu'un honnête homme qui n'a jamais exercé des fonctions au niveau du pouvoir est un voleur.
Me Larifou n'en déplaise à ses détracteurs n'a jamais volé un centime aux contribuables comoriens et il ne dispose pas d'un compte où aurait transité 300 millions de dollars. Les attaques qui reviennent souvent, c'est qu'il ne serait plus avocat à la Réunion. Cette fausse rumeur a été colportée le 08 juin 2015 par le journal " France Mayotte Matin".
Et l'auteur de cette supercherie est Samuel Boscher, l'acolyte de Patrick Millan. Après avoir pris connaissance de ce mensonge, Me Larifou a sorti un communiqué pour démentir l'information.
Et comme la vérité finit toujours par triompher, le 24 juin 2015, Me Larifou s'est rendu à la cour criminelle de Mayotte pour plaider un dossier. Par ailleurs, l'origine de cette haine date de l'affaire Roukia où des gendarmes français furent mis en cause.
Les sambistes savent très bien que Me Larifou a fait le choix de s'inscrire au barreau de Moroni pour être aux côtés du peuple comorien et qu'il figure toujours au barreau de la Réunion mais d'une manière délibérée l'accuse d'être radié de l'ordre des avocats.
Ils peuvent continuer à faire diversion pour mentir aux comoriens comme ils en ont l'habitude mais l'opinion nationale et internationale savent qu'il dispose de vrais diplômes et continue de surcroît à exercer son métier. Ahmed Sambi est hors jeu et plusieurs de ses proches le savent et commencent à quitter le navire. Quelques irréductibles continuent à s'accrocher mais le dossier des passeports est tellement lourd que la retraite politique du mollah est inéluctable.
Le FBI a un dossier kilométrique sur les responsables de ce scandale qui touche notre souveraineté.
En ce qui concerne la politique, il a fait le choix de soutenir les initiatives de développement du chef de l'état, Azali Assoumani, car il y croit. Il va de soit que les attaques vont s'accentuer jusqu'à la fin du mois car la vérité, les sambistes ont peur du parti Ridja sinon pourquoi perdre autant d'énergie pour salir un homme? En revanche, nous mettons en garde les personnes qui s'aventureront sur le plan de la diffamation, ils seront poursuivis par la loi en vigueur.
Une citation directe a été lancée contre " le fou furieux de la blogosphère comorienne" mais les services compétents viennent d'apprendre qu'il serait devenu enseignant à Mayotte. La procédure suit son cours, il s'agit d'un multirécidiviste condamné jadis par un politicien comorien.
Cellule de communication du parti Ridja