Cependant, si la chanson comorienne est le moyen rarissime pour dénoncer les formes de violence faites aux enfants, la maltraitance sex...
Cependant, si la chanson comorienne est le moyen rarissime pour dénoncer les formes de violence faites aux enfants, la maltraitance sexuelle aux Comores reste un phénomène très banalisée.
Du village à la nation en passant par les régions et les îles, nombreux sont les enfants maltraités et/ou abandonnés. à la date 31 décembre 2017, 189 enfants et femmes ont été accueilli au service d'écoute et de protection des enfants victimes de violence de Ngazidja, dont 115 cas d’agression sexuelle, 18 cas de maltraitance physique, 3 cas de maltraitance psychologique et 53 cas de maltraitance économique.
Des jeunes filles se font violer par des adultes parfois éducateurs qui finissent par devenir leurs maris afin de dissimuler la honte mutuelle des uns et des autres. Face à cette triste réalité, nous, service d'écoute de Ngazidja, association HiFADHWI et association Mwana Tsiwamdzima, avons décidé aujourd'hui encore une fois de sortir du silence sur un sujet qui nous tient à cœur en espérant contribuer efficacement à ce débat vital et espérer bousculer enfin les lignes. Mais que prévoient-elles les lois face à cette situation ? ©Service d'écoute de Ngazidja
DES TEXTES JURIDIQUES POUR FAIRE SEMBLANT? ....A suivre...