Partie intégrante de la commission mixte France- Comores, les membres de la Commission Nationale Technique de la Diaspora (CNTD) a convié l...
Partie intégrante de la commission mixte France- Comores, les membres de la Commission Nationale Technique de la Diaspora (CNTD) a convié la presse ce samedi pour parler de leur mission et participation dans la commission mixte. Composée de 15 membres répartis dans 13 régions françaises, la CNTD exige une considération équitable des comoriens de la diaspora au même titre que ceux qui résident au pays. Réclament d'abord la participation au processus électoral, Saïd Halifa précise que dans ce cadres tout a été fait sauf pour que la diaspora puisse accomplir leurs droit civique.
Dans le cadre du développement socioéconomique, la CNTD propose la création d'un fond d'investissement de la diaspora pour pouvoir capitaliser l'apport de la diaspora dans le développement du pays.
Convaincue que la diaspora n'est pas structurée comme il le faut, la CNTD, qui s'est engagé dans ce projet, se donne comme mission de réorganiser de façon légitime l'ensemble de la diaspora comorienne. " Si on nous a choisi d'être dans la commission mixte par rapport à d'autres cela est du à notre engagement qui n'est date d'aujourd'hui et surtout grâce à ce que nous avons proposé dans presque les questions qui concernent le développement de notre pays"; à t-il précisé Amadou Ahmadou Mze.
De son côté Aliyamani explique que le vote de la diaspora est un acquis, il ne reste qu'un problème politique. Ils expliquent que le nombre de votants qui sont en France sont à peut-être 140 000 électeurs. Nakidine Hassane