On ne peut pas changer le pays avec les mêmes pratiques depuis 1975. À peine nommé directeur de l'ORTC, Msa Ali Djamal a voulu changer ...
On ne peut pas changer le pays avec les mêmes pratiques depuis 1975. À peine nommé directeur de l'ORTC, Msa Ali Djamal a voulu changer la télévision nationale, malheureusement il était confronté à plusieurs embûches.
À commencer par le bloc de conservateurs qui lui empêchait de réussir, de son ministre de tutelle jusqu'à ses proches collaborateurs.
Quand Moussa Ali Djamal a voulu faire la télévision nationale la voix du peuple, il a été rappelé à l'ordre le jour où Mouigni Baraka avait critiqué en direct de l'antenne du gouvernement.
Au niveau de ses proches collaborateurs, Msa Ali Djamal était confronté à un conflit de légitimité, on lui considérait comme un "je viens" qui est allé prendre la place d'un dinosaure qui soutenait Azali. Je laisse le côté victimisation pour parler de son bilan.
Au niveau de ses proches collaborateurs, Msa Ali Djamal était confronté à un conflit de légitimité, on lui considérait comme un "je viens" qui est allé prendre la place d'un dinosaure qui soutenait Azali. Je laisse le côté victimisation pour parler de son bilan.
Msa Ali Djamal avait pris ses fonctions le 27 juillet 2016, en 14 mois à la tête de l'institution, il avait hérité un bâtiment insalubre. Il avait réussi en 1 an à la réhabilitation du bâtiment de l'ORTC , construit des bureaux et d'équiper la salle de rédaction. À son arrivée, ORTC comptait un seul caméra, c’est donc légitime l'investissement d'achat des nouveaux équipements techniques.
Le DG avait déjà commencé les travaux pour que la régie de diffusion soit en HD même si le ministre avait bloqué la direction de la Mamwe de reverser l'argent de la redevance. L'ex DG avait hérité 10 mois d'arriérés de salaire et il part sans arriérés. Les contractuels avaient 20 mois d'arriérés à son arrivée et il part avec 4 mois d'arriérés.
Personnellement, je suis convaincu que des proches collaborateurs lui mettaient des bâtons sur la roue pour que l'ORTC soit fidèle à elle même, la médiocrité des émissions et des images. Comment peut on expliquer le vole d'un caméra sous la responsabilité d'un employé de l'Ortc Voidjou ?
Depuis sa suspension, les lobby de communication de Beit-Salam, des dinosaures de la maison ORTC espèrent atterrir à l'ORTC. Par Chacha Mohamed
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