Il n'est rien de secret qui ne sera connu et le secret longtemps caché de la Banque fédérale de commerce (Bfc), fille ainée de la ven...
Il n'est rien de secret qui ne sera connu et le secret longtemps caché de la Banque fédérale de commerce (Bfc), fille ainée de la vente des passeports comoriens n’est pas épargné. C’est une épine dans la chaire qui ne s’enlèvera pas sans déchirure de la peau. Les naïfs comoriens malgré eux, sentent la douleur des épines dans la chaire et les escrocs eux, ont vu des roses. Les dessous de des histoires ne font que commencer.
Il n'est rien de secret qui ne sera connu
Il est Arabe ou Comorien, le père de la Banque fédérale de commerce (Bfc) sera dévoilé. C'est au moins la conséquence logique qui se dessine après la révélation du journaliste du journal Al-Watwan Kamardine Soulé. Est-ce que la Bfc peut retrouver ses parents ? Il est peut être tôt pour le dire. En tout cas, si la vente des passeports comoriens donne des roses (de l'argent), force est de constater que sous ces roses (sous cet argent) se cache des épines géantes qui rendent la vie d'un pays plus difficile et plus dure à l’intérieur comme à l’extérieur.
Qui est-ce qui sait qui est le père de la Bfc ?
« Citoyenneté économique : auditions prochaines des 3 présidents. Azali le 16 octobre, Sambi et Iki le 7 novembre » nous informe notre collègue Idjabou Bakari sur son mur Facebook.
Tous ces trois présidents auront donc à s’exprimer sur la citoyenneté économique mais pas seulement, quant à l'ancien président Sambi. Il a l'obligation de dévoiler enfin, qui est le père de la banque fédérale de Commerce (Bfc). il semble qu'il n'a pas d'autre choix étant donné que les dix millions d’euros de fond de démarrage de la Bfc (en 2009) proviendraient de l’argent issu de la vente des passeports comoriens à des étrangers. Cette autre épine dans la chaire des comoriens, est une lourde charge, une difficulté de plus pour notre pays qui vise l’émergence à l’horizon 2030. C'est pourquoi il parait logique que l’ancien président Ahmed Sambi s’explique sur le comment se fait-il que la Bfc est présentée comme « banque à capitaux arabes » alors que le fond de démarrage est issu de la vente des passeports comoriens. Bel et bien piégé ou véritable complice et surtout, qui est le vrai père de la banque fédérale de Commerce (BFC) ?
En espérant que les auditions prochaines des trois présidents, nous permettront de savoir plus.
Mrimdu