VIOLENCE D’UNE FEMME DANS SON CHAMP : NKOURANI SIMA DEMANDE L’OUVERTURE D’UNE ENQUÊTE ET RESTE OUVERT ET DISPONIBLE DANS TOUTES LES PROCÉDU...
VIOLENCE D’UNE FEMME DANS SON CHAMP : NKOURANI SIMA DEMANDE L’OUVERTURE D’UNE ENQUÊTE ET RESTE OUVERT ET DISPONIBLE DANS TOUTES LES PROCÉDURES Y AFFÉRENTES.
Le vendredi 22 septembre 2017, une délégation de 4 personnes d’origines de Domoni Badjini conduite par Mr Youssouf Oumouri s’est présentée à Nkourani Sima aux environs de 15h 30. Elle a été reçue publiquement par la population. Il a été question de faire part à tout le village (Nkourani Sime) d’une histoire d’agression physique dont sa femme native de Domoni est la victime. Le mari de la victime a fait l’historique. « C’était aux environs de 10h 45 qu’il a laissé sa femme seule au champ appelé mbudadju, à voisinage des villages de Domoni, Dzoidju, Dembeni, Mdjankagnwa et Nkourani Sima pour répondre à ses obligations musulmanes (la prière du vendredi).
Quelques minutes après le départ du mari au village (à Domoni), deux hommes s’introduisent devant sa femme. L’un de ces hommes se dénomme Mohamed Charane de Nkourani Sima. Les 2 agresseurs et sa femme ont échangé les salutations. Entre temps, une discussion s’est ouverte. Cette discussion a évolué et a pris une autre forme au point que ces hommes courtisent la femme. Ainsi, les deux hommes proposent de coucher avec la femme. Évidement, la femme refuse d’obtempérer sur cette proposition choquante. L’un des agresseurs s’introduise physiquement à la femme et veut à tout prix coucher avec elle.
La femme se défend par tout le moyen ce qui lui a coûté de coups physiques, c’est ce que témoigne sa robe déchiré et son doigt cassé au couteau, ajoute Mr Oumouri devant des centaines de personnes à Nkourani sima. Les deux hommes ont tout fait pour s’adonner à la fornication, mais sans pouvoir passer à l’acte. Ils relâchent la femme en échange (confiscation) de son collier d’or d’une valeur non mentionnée, toujours selon Mr Oumour. La victime confirme qu’elle peut bien reconnaître les visages de ses agresseurs. Le mari se confie qu’il connait une personne du même nom (Mohamed Charane) natif de Nkourani Simma mais qu’il se trouve en Arabie Saoudite depuis 4 ans. » Sur place, un autre jeune portant le même nom présumé s’est présenté puis amener à Domoni et est innocenté. (A Nkourani Sima il n’y a que ces deux personnes qui portent ce nom).
Rien ne nous assure que ces violeurs sont issus de Nkourani Sima. Curieusement, comment est ce possible qu'un violeur s'identifie ''nom et prénom et village d'origine'' devant sa victime après cet acte horrible. Je suis de ceux qui pensent au complot uniquement pour inciter des nouvelles tensions au sein de ces deux villages voisins, si proche et amis historiquement. Dommage que ces conspirateurs sociopathes ont des complices dans les réseaux sociaux, auteurs des accusations diffamatoires et mensongères. Heureusement les deux communautés (DOMONI / NKOURANI SIMA) restent vigilantes face à cette tragique histoire tissée et n’ont pas tombées au piège de cette rébellion organisée au détriment de l’image de toute une communauté innocente. Je salue la responsabilité que la population de Domoni a fait preuve dès le début de cette affaire et celle de Nkourai Sima aussi.
Ce dernier condamne fermement cet acte barbare et sauvage et demande l’ouverture d’une enquête pour mettre en lumière cette affaire. Il reste ouvert et disponible dans toutes les procédures y afférentes. A l’heure qu’il est, un grand Hitma (lecture du coran) est prévu ce mardi 26 septembre à Nkourani Sima en présence de personnalités et autorités de la région de Badjini et des médias pour dénoncer et prier pour que les auteurs soient connus et punis, peu importe leur village et/ou leur région. Nous en avons confiance à la justice.
Nadhoim dine Hadji Saadi, Nkourani Sima
Nadhoim dine Hadji Saadi, Nkourani Sima