La lutte honteuse d'un soi-disant patriote
Qui ne pourrait pas être patriote, s’il s’agit de l’être comme l’est Idriss Mohamed ? Il est temps à comprendre que le patriotisme aux Comores est un produit bien détérioré Et le consommer c’est du poison. Donc ne consommez pas le produit expiré, marqué « patriotisme Idriss Mohamed. » Qui ne peut pas devenir ministre, ou directeur d’une société s’il s’agit de trahir les siens pour ses buts personnels ? Idriss en est l’exemple.
Rien d’étonnant et je croyais que les comoriens ont été avertis de ceux qui se trament sous les murs de Beit-Salam. Ce décret portant la généralité du déroulement des Assises nationales, baptisées « Assises Idriss », n’a rien de mystère ni de surprise. Dans une lettre réponse qu’Idriss Mohamed m’a adressé et faisant flèche à des amis, ce monsieur a dévoilé les confections de Beit-salam. Cet Idriss qui a réussi à mettre à l’écart Mzé Bazi Selim et d’autres éléments gênants le passage du train dictatorial d’Azali et Idriss Mohamed.
Ce prétendu ministre de l’éducation nationale, raté du regime Azali 1, issu des accords de Fomboni, a pu ces derniers temps marchander… en vendant le M11, contre je ne sais quoi, en rajoutant d’une promesse d’un ministère de l’éducation nationale dans le gouvernement d’après Assises. Celle-ci est la millième promesse qu’Azali fait à ses affriolés. Passons.
Ce prétendu ministre de l’éducation nationale, raté du regime Azali 1, issu des accords de Fomboni, a pu ces derniers temps marchander… en vendant le M11, contre je ne sais quoi, en rajoutant d’une promesse d’un ministère de l’éducation nationale dans le gouvernement d’après Assises. Celle-ci est la millième promesse qu’Azali fait à ses affriolés. Passons.
Mais non, la vie des comoriens ne valent pas ces hommes sans foi ni loi. Comment Idriss Mohamed, peut se venter du patriotisme alors que tout le monde a pu discerner ses ambitions de la dernière heure ? Oui, notre frère a compris que le patriotisme et la gouvernance ne peuvent pas rimer au pays de « Dafine mmidjindze ». Alors, il s’est honteusement résigné. Avec Idriss Mohamed, Azali fait passer ses ambitions et ses fantasmes en douceur, et sous prétexte des Assises nationales. Un dictateur est né, mais ne le devient pas.
Sinon, comme la lâcheté d’Idriss ne rime pas avec le patriotisme, la dictature d’Azali de même. Ces Assises d’Idriss Mohamed et amis, au profit d’un régime qui s’annonce dictatorial, est un pire malheur que le séparatisme anjouanais. Pur malheur que les trois coups d’Etat qui ont bouleversé la vie des comoriens. Passons. Non aux assises d’Azali et Idriss Mohamed. Said Yassine Said Ahmed