Nakidine Hassane ou le journalisme au rabais ?
Dans d’autres pays où les valeurs et les principes ont du sens, on n’aurait jamais été obligé de faire une réponse aux écrits du pseudo-journaliste, Nakidine Hassane. La justice et le CNPA s’en seraient occupés d’une manière ou d’une autre.
Mohamed Ahmed Abdou (Djaé)©HZK |
Mais comme nous sommes en union des Comores, un pays où ce sont les moins scrupuleux qui dominent, où l’autre, le différent est souvent désigné comme bouc émissaire et indexé en toute impunité, où l’indifférence est devenue la règle, il s’avère impératif que certains d’entre nous se lèvent pour dire non à la médiocrité partagée et halte à la banalisation de la haine et du racisme.
Dans des articles récemment publiés sur facebook, puis relayés, hélas, par le site Habarizacomores.com, le soi-disant journaliste Nakidine Hassane, car il faut préciser qu’il n’en est pas un de par son niveau de français de mauvaise qualité, mais surtout de son manque de discernement et de ses positions malsaines, s’en est pris violemment à l’ambassadeur de la république française aux Comores, son excellence, Mr Robby Judes.
Insultes, diffamations, expressions racistes, le rédacteur profanateur d’Alfadjr qui est par ailleurs l’un des communicants officieux de certains malheureux politiciens, a usé de toute son énergie pour tenter de faire mal à notre ambassadeur.
Honte à ce pseudo-journaliste, aux rédactions qui lui donnent du crédit et aux hommes politiques qui le manipulent pour salir l’image d’un homme intègre qui remplit correctement sa mission.
L’ambassadeur Judes est une éminente personnalité, respectueuse du peuple comorien et de ses valeurs. Depuis 4 ans, il œuvre pour une amélioration de la coopération franco-comorienne.
On a le droit d’être ou pas d’accord avec lui comme avec la politique de la France en Union des Comores. Seulement, rien ne justifie qu’on s’attaque à sa personne, à ses origines ni à la couleur de sa peau.
Les Comores est un pays connu pour sa tolérance et l’esprit de fraternité qui a toujours prévalu au sein de la population. Nous ne laisserons donc jamais des journalistes au rabais effacer notre histoire, bafouer nos valeurs et tâcher notre honneur.
Mohamed Ahmed Abdou (Djaé),
Président de l’Association pour le Rapprochement France-Comores