Fahmi, ministre de la justice
Je suis stupéfait des accusations gratuites formulées par HAMADA MOINDJIE sur la page facebook du site Habarizacomores.com.
On sait pertinemment qu’à la proche de remaniement gouvernemental, les accusations, les calomnies et les mensonges, se multiplient et deviennent quotidiens dans les réseaux sociaux à l’idée de faire positionner leur leader. Maître FAHAMI, ne regrette pas d’avoir porté le thème la corruption, lors des élections présidentielles.
Fahmi, ministre de la justice |
Son excellence, le Président de la République AZALI ASSOUMANI, ne s’est pas trompé en confiant MAÎTRE FAHAMI le poste de Ministère de la Justice. Il est comme vous l’aviez bien dit Monsieur (PROPRE), car personne ne peut lui reprocher d’un détournement de fonds.
Objectivement, ouvrez les yeux; il est le seul ministre de la justice dans notre pays qui a pu transformer la justice au bout d’un an :
Tout d’abord, il a proposé une loi pour un tribunal de commerce. Ensuite, il a proposé une loi pour l’obtention de la Nationalité comoriennes, car nous savons qu’actuellement des étrangers se marient avec des femmes comoriennes ou le contraire dans le but d’obtenir la nationalité. Il a également sollicité de rehausser les salaires des magistrats. Et il a rénové l’appareil judiciaire, en croyant un véritable Etat de droit dans notre pays pour sa rigueur et son savoir faire.
En fin, il a proposé que chaque magistrat ait son propre ordinateur portable.
Il faut préciser que le fait qu’il prenait des exemples concrets pendant sa campagne tels que le BOULLE MINNIG, LAFARGE, COLAS, CITOYENNETÉ ECONOMIQUE, et les autres, c’est que dès sa nomination, la justice a commencé à convoquer les présumées pour éclaircir certains soupçons.
Toutefois, nos familles ont pris des bus pour aller manger du riz et du TIBE pour soutenir les supposés auteurs. Tous les jours Maître Fahami est le seul ministre dans ce gouvernement qui rend compte au peuple via des conférences de presse et des articles et des interviews aux comoriens.
Mr Moustoifa Said Hassane