De l’absurdité sur du riz en plastique Sans aucune précaution la plus absolue sur un sujet d’une grande conséquence sur la vie des Com...
Sans aucune précaution la plus absolue sur un sujet d’une grande conséquence sur la vie des Comoriens ! Et ce, par la plume de Monsieur Toufé Maecha – un fier à bras n’ai-je exagéré. Indubitablement, par les nombres années cumulées, le journaleux ne devait plus paraitre comme non précautionneux pour rédiger un article si tendancieux fondé comme il l’a bien dit sur « les rumeurs ». Malheureusement, le professionnel de médias les embellit par des insinuations : « contester ou attester, un sérieux désagrément, preuve à l’appui à la cuisson, contrefaçon… » Quelle bouffonnerie d’informations à l’emporte-pièce !
Et pourtant La Gazette des Comores, datée du 18 mai 2017, a choisi d’utiliser ces fake news pour porter atteinte, d’un côté, sur ma personne probe et fière d’avoir donné, à un prix sans concurrence, un bon basmati pakistanais aux consommateurs locaux ; et, d’un autre côté, de paniquer - dans l’outrance -, la population comorienne pour qu’ en aval mettre en péril tout mon investissement au prétexte que le bon riz naturel Chana est d’une pure artificialité puisqu’il s’agit d’un produit plastique donc dérivé du pétrole. Quelle énormité de vouloir accuser Chana riz d’un poison de tuerie de masse !
Aujourd’hui, en jouant le relais d’une diffusion sciemment orchestrée pour nuire les activités d’entrepreneur intègre que je représente, non seulement votre article met à mal tout un gros investissement financier engagé, mais en plus, en contribuant à salir ma personne, il a aussi provoqué une grande panique chez des nombreux citoyens qui ont allègrement consommé le produit tant apprécié de leur part.
Une chose est sûre, pour le moment, malgré les dégâts causés par votre article, j’ai choisi, compte tenu de mon intense conviction de voir la presse du pays prendre un réel envol dans son honnêteté rédactionnelle, de ne pas déposer plainte. Certes, je suis cet homme en colère. Pour autant je ne veux pas user de son droit de saisine de la justice pour propagande de fausses nouvelles qui contrarient avec les prudences de l’ONICOR et de l’INRAP que vous avez cependant bien étayées dans votre papier. Voilà des précautions qui demeurent des facteurs devant vous pousser à approfondir dans des sources fiables d’information avant de publier une telle ignominie gravissime.
Ce n’est pas parce que l’illuministe fantasmatique « cordon bleu » sans inspiration d’Ezir Ezi a publié sur son Facebook les bassesses de son menu fallacieux sans goût que vous manquiez de recul pour choisir d’écrire un tel sujet en vous fiant de ses âneries.
Sans rancune. Bon vent La Gazette des Comores en toute objectivité!
Monsieur Abdéramane Kouraichi
Importateur exclusif du riz Basmati Chana
(droit de réponse paru dans le journal La Gazette des Comores de ce mardi 23 mai)
Toufé Maecha, Journaliste reporter à La Gazette des Comores