Le président Azali Assoumani progresse doucement et surement au vu et au su de ses détracteurs qui ont du mal à préciser leurs objectifs qu...
Le président Azali Assoumani progresse doucement et surement au vu et au su de ses détracteurs qui ont du mal à préciser leurs objectifs qui sont partagés entre la haine et l'amour pour leur pays. Leurs rumeurs vont bon train jonchées sur des débats stériles et subjectifs.
Au lieu de tabler sur les vrais soucis et préoccupations, ils passent leurs temps a plaidé des causes qui n'ont aucun élément basique relatif à une véritable gestion d'une institution comme cela a été le cas dans leurs soutiens aveugles à l'ancien vice-président et son équipe.
La période de campagne électorale a tourné la page, désormais pour le président , faire des Comores un pays émergent est devenu une obsession constructive et la machine est en marche. Ce qui a paru impossible aux yeux des uns et des autres, hier, est, dorénavant, une réalité. Réjouissant que d'entendre les comoriens se pavaner d’être sous électricité 24h / 24h. Au lieu d’être constamment branché sur une calculatrice pour mesurer l’étendu des impacts négationnistes des retards sur le versement de leurs salaires, depuis qu'il est au pouvoir.
Les fonctionnaires ont le privilège de pouvoir gérer au quotidien leurs revenus mensuels . Ils étaient au pouvoir, il y a encore quelques mois et l'obscurité était leur allier privilégié. Les salaires étaient une des denrées rares de la république à cause de l'éternel argentier républicain. La page est tournée et bien sur, il ne sera jamais question de baguette magique parce que construire n'a jamais été chose aisée. Il ne suffit pas de vouloir, il faut pouvoir et pour cela il faut se donner les moyens.
Le président Azali cherche les moyens et il les aura que cela soit de l'intérieur comme de l’extérieur. Alors que le chef de l’État bouche les oreilles sur les mots insignifiants, sans fondement, et haineux des beaux parleurs, et qu'il fasse ce qu'il faut comme il faut pour l’intérêt du peuple et de la nation. Un consulat à Marseille est un beau projet, sans doute, et pour cela, il faudra donner à l'institution mère l’étoffe qui évoluera de pair avec une responsabilité d'une telle ampleur.
Ce n'est pas à la France de mettre à la disposition d'un pays ami un local qui abritera ses diplomates et sa dignité. Ce n'est pas une mode de conduite digne d'un pays souverain pour ceux qui disent tout et rien. Quand aux journalistes de basse besogne qui n'ont dans leurs collimateurs que les dirigeants en cherchant à dénicher la moindre faille dans un système à reconstruire.
Ils peuvent prendre tout leurs temps parce qu'Azali Assoumani a tout son temps. L'esprit d'équipe est un lien à consolider à tout moment et à chaque instant, pour la simple raison que les imprévus n'ont jamais eu de gyrophare.
Par Ahmad Houmad Mze
HabarizaComores.com (Habari Za Comores)| أخبار من جزر القمر