Depuis plusieurs semaines les services d’état civil charges de la délivrance d’extraits d’acte de naissance soufrent d’un manque des imprim...
Depuis plusieurs semaines les services d’état civil charges de la délivrance d’extraits d’acte de naissance soufrent d’un manque des imprimées. Une pénurie qui frappe en premier les élèves candidats aux examens nationaux, qui pennes à compléter leur dossiers.
Préfecture du centre |
Plus qu’une crise, cette énième pénurie des imprimés des actes d’état civil, n’épargne aucun état civil du moins à Ngazidja dont la demande de ce document fait du rameux et de la queue devant les guichets des états civil. Plus en soufrant de cette crise, les élèves candidats aux examens nationaux qui courent aux quatre coins de l’ile à la recherche des imprimés. « Heureusement que le commissariat a compris que les candidats ne seront plus en mesure de trouver ce document, ils ont donc trouvé une alternative sinon on allait rester dans ce calvaire jusqu’à présent », a-t-il expliqué Djawad Abdallah un élève candidat au baccalauréat. Une explication renchérie par le caissier de la préfecture du centre. « Effectivement, on a pu, dompter une méthode pour faciliter les élèves et un arrangement a eu lieu pour que les élèves puissent ramasser leur dossier des examens », a-t-il ajouté Abdallah Abderemane
Touchés plus profondément par cette crise, les comoriens de l’extérieur sont des plus en plus aux abois. Un phénomène qui ne date pas aujourd’hui selon l’adjoint du préfet de Moroni. « C’est depuis 2015 avec la décentralisation des communes, que la crise a pris une dimension. Parait il que l’argent n’arrive pas attend au trésor. Omar Tamou Ali l’adjoint au préfet de Moroni. De son coté, Abdallah Abderemane, le caissier de la préfecture informe que « les problèmes viens au niveau du trésor mais nous avons versé tous l’argent qui ils nous doivent, de même que dans les sous centre », a-t-il rassuré. Lui de précisé que, « ce qui manque des plus, se sont les extraits d’acte de naissances et les certificats de résidence », montre t-il. Par Nakidine Hassane