Soefo figure parmi les mieux placés pour défendre la politique du Président Azali
Celui qui ne reconnaît pas la première partie de cet exercice d’enchaînement (1999-2006 ), aura beaucoup du mal à expliquer la suite. D’où, certains Ministres du gouvernement Azali, auront toujours peur de prendre le micro pour défendre la politique pourtant gouvernementale. Aujourd'hui lorsque les comoriens se souviennent de Aboudou Soefo ou de Msaidie et de Boléro, c'est par rapport à leur passage aux Gouvernements Azali qu'à d'autres. Voyons !
Vous savez lecteurs et lectrices ! grâce à Aboubou Soefo, j'ai compris que la politique est une suite d'opérations contenant des parenthèses et, la règle veut que les parenthèses soient prioritaires sur tout le reste. J’ai compris également qu'il y a du commun entre la politique et la mathématique : dans une opération-enchaînement, celui qui ne reconnait pas le premier résultat, ne pourra jamais trouver comme juste, le résultat final car, tout en dépend. On comprend donc le pourquoi dans cette équipe du président Azali, certains ministres ont du mal à expliquer les résultats des actions du gouvernement, et pourtant, des résultats concrets il y a pas mal. Se faisant, le président se trouve très souvent au front face aux médias pour expliquer lui-même l’enchaînement de ses actions.
Cela dit aussi qu'on ne peut pas comprendre l'interview accordée à la journaliste Faïza Al-watwan, par l'ancien Ministre Soefo ce 24 janvier 2017, si on ignore la précédente interview de ce même Soefo. N'est-ce pas lui qui a dit qu'il n'est pas comme les autres envers Azali et, qui se demandait si réellement il y a quelqu'un qui connaît mieux la politique d'Azali que Soefo avec ses quatorze années de combat politique avec Azali ?
Qu'on se le dise les yeux dans les yeux :
Qui connaît mieux la politique du Président Azali que Aboudou Soefo et Hamada Madi Boléro, Houmed Msaidie...,personnellement je me demande, pourquoi on s'étonne et on s’inquiète, quand Soefo dit qu'il apprécie la politique du chef de l'Etat ? au risque de déplaire, Mrimdu pense qu'un retour de Houmed Msaidie au bercail ne serait que bénéfique au pays parce que tout simplement, aujourd'hui lorsque les comoriens se souviennent justement de Aboudou Soefo ou de Houmed Msaidie et de Hamada Madi Boléro, c'est par rapport à leur passage aux Gouvernements Azali qu'à d'autres. n'en déplaise !
Afficher la suite...
Aussi, n'est-ce pas lui Soefo, qui disait que « Entre une opposition conduite par Mouigni Baraka Said Soilihi (qu’il ne trouve absolument rien de commun) et un pouvoir conduit par Azali Assoumani qui, nous avons quand même un passé de quatorze années de combat, je me positionne sans hésitation plutôt du côté de ce compagnon de combat, car après tout, même si on était adversaires aux dernières élections, quatorze années de combat politique c’est quelque chose qu’on ne peut pas effacer, à moins d’avoir été hypocrite durant toute cette période-là ? Mais, n'est-ce pas lui Soefo qui, disait dans une interview précédente je cite « Je ne récuse pas que quelqu’un puisse me dire que j’ai une bienveillance ou un faible vis-à-vis du Président Azali. Je pense que c’est tout à fait humain. Et la politique aussi demande l’environnement humain » ?
Alors oui, le camarade Mrimdu ne dit pas ce qu'il pense pour attendre en retour " les yoyos et les applaudissements" non. Il dit tout simplement ce qu'il pense : On apprécie Aboubou Soefo ou on ne l'apprécie pas, on approuve la politique du président Azali ou on déteste sa politique, une chose est certaine : Aboudou Soefo figure parmi les mieux placés pour défendre la politique du Président Azali. Il est parmi les rares personnalités politiques comoriennes, qui peuvent défendre en mieux, du début à la fin, la politique du président Azali Assoumani. Maintenant, est ce qu'il rentrera ou non dans un prochain Gouvernement ? je ne sais pas, car cela dépend seulement et uniquement du président de la république et de lui-seul.
En tout cas, dans cet exercice-enchaînement (1999-2006 et puis, 2016-2021) celui qui ne reconnait pas la première partie, aura toujours peur de prendre le micro pour défendre la politique du Président Azali. C'est sans doute le dilemme qui foire la communication gouvernementale.
Mrimdu