Telma l’enseigne de tous les mépris
Libre opinion - Les opérateurs changent et adaptent leurs dénominations sociales une fois dans un pays étranger surtout si elles sont liées à leurs pays d’origines. Force est de constater que l’opérateur de Télécommunication Malgache préfère mettre en valeur son pays d’origine dans ses enseignes plutôt que de se reconnaitre comorien. Dans tous les recoins du pays, on observe l’enseigne « Télécommunication Malgache » en diminutif « Telma » comme si on est à Madagascar.
Mais rien n’est d’ailleurs étonnant, car notre pays a vécu plusieurs forme d’occupation ce n’est pas la première fois que notre pays vie sous occupation. C’est aux XVIe siècles que commencèrent les invasions malgaches sakalavas, associées à des razzias, dans lesquelles les Comoriens furent prisonniers et réduits à l’esclavage. Et la ville d’Iconi dans sa mémoire collective garde un souvenir amer, pour ce qui est de ces femmes, quand elles ont préféré mourir dans la dignité en jetant du haut de la falaise d’Iconi, plutôt que vivre dans la honte de l’ignoble servitude des razzias …
Bien que ces occupants étaient pourchasser par nos braves guerriers, mais leurs arrogance face à la population comorienne leurs ont poussé à commettre l’inoubliable. 2 000 Comoriens ont fut tués en trois jours, entre le 20 et le 22 décembre 1976. Des viols ont été également perpétrés, sans compter les centaines de maisons incendiées ou pillées.
Malgré ces atrocités, l’opérateur de Télécommunication Malgache débarque encore dans notre pays pour déclencher un printemps arabe. Leur manœuvre illicite pour obtenir cette fameuse licence de toutes les controverses, poussent les jeunes de ce pays au chômage en la merci des ressortissants étrangers qui envahissent notre pays pour s’enrichir derrière notre dos.
Il est vrai que la concurrence favorise le progrès mais faut-il aussi qu’il soit loyal pour que le peuple Comorien tire le plus grand profit loin de tous ces mépris.
Mais rien n’est d’ailleurs étonnant, car notre pays a vécu plusieurs forme d’occupation ce n’est pas la première fois que notre pays vie sous occupation. C’est aux XVIe siècles que commencèrent les invasions malgaches sakalavas, associées à des razzias, dans lesquelles les Comoriens furent prisonniers et réduits à l’esclavage. Et la ville d’Iconi dans sa mémoire collective garde un souvenir amer, pour ce qui est de ces femmes, quand elles ont préféré mourir dans la dignité en jetant du haut de la falaise d’Iconi, plutôt que vivre dans la honte de l’ignoble servitude des razzias …
Bien que ces occupants étaient pourchasser par nos braves guerriers, mais leurs arrogance face à la population comorienne leurs ont poussé à commettre l’inoubliable. 2 000 Comoriens ont fut tués en trois jours, entre le 20 et le 22 décembre 1976. Des viols ont été également perpétrés, sans compter les centaines de maisons incendiées ou pillées.
Malgré ces atrocités, l’opérateur de Télécommunication Malgache débarque encore dans notre pays pour déclencher un printemps arabe. Leur manœuvre illicite pour obtenir cette fameuse licence de toutes les controverses, poussent les jeunes de ce pays au chômage en la merci des ressortissants étrangers qui envahissent notre pays pour s’enrichir derrière notre dos.
Il est vrai que la concurrence favorise le progrès mais faut-il aussi qu’il soit loyal pour que le peuple Comorien tire le plus grand profit loin de tous ces mépris.
Abdelkader Aboubakar Alias Kader