Yes we can Comoros : Un an sous le silence total
L’actuel coordinateur de l’American Corner of Comoros Monsieur Salim Ismael est l’initiateur et fondateur de l’Association Yes we Can Comoros. Il a simultanément fait deux mandats au poste du président, dont son premier en était triomphal. Tout cela était dû grâce aux très bonnes initiatives et à l’importance qu’il donnait aux autres membres de l’association.
Il n’accomplissait pas tout en soi mais partageait avec tous les autres membres afin de mieux progresser et faire valoir les objectives clefs de cette très jeune association qui sont bel et bien connues : promouvoir à la langue anglaise au sein la communauté comorienne ; protéger l’environnement en organisant des journées de nettoyage dans des lieux souvent fréquentés par nombreux des Comoriens ainsi que préserver la culture américano-comorienne tout en célébrant leurs indépendances et en se partageant les histoires anciennes faisant la richesse de leurs traditions. Toutes ces activités ont été organisées en commun accord avec les partenaires proches de l’Association à l’exemple de l’Université des Comores, l’Ambassades des Etats-Unis, L’Ambassade d’Afrique du Sud et des subventions qu’ont leur apportaient.
Il n’accomplissait pas tout en soi mais partageait avec tous les autres membres afin de mieux progresser et faire valoir les objectives clefs de cette très jeune association qui sont bel et bien connues : promouvoir à la langue anglaise au sein la communauté comorienne ; protéger l’environnement en organisant des journées de nettoyage dans des lieux souvent fréquentés par nombreux des Comoriens ainsi que préserver la culture américano-comorienne tout en célébrant leurs indépendances et en se partageant les histoires anciennes faisant la richesse de leurs traditions. Toutes ces activités ont été organisées en commun accord avec les partenaires proches de l’Association à l’exemple de l’Université des Comores, l’Ambassades des Etats-Unis, L’Ambassade d’Afrique du Sud et des subventions qu’ont leur apportaient.
Yes We Can Comoros est une association à but non- lucratif et apolitique. Ces membres ont appris à servir leur pays tout en faisant le volontarisme. Ils se sentaient fier de faire ce volontarisme sans plus rien recevoir en retour. L’amour des uns pour les autres en était sans aucune barrière tant que l’esprit d’association était bien au rendez-vous et tout le monde en parlait de leurs très bons exploits et charismes.
Mais l’intension dudit président changea immédiatement lorsque son deuxième mandat était presque à terme. Les unes et milles commissions qui ont été mises en place pour superviser la tenue des élections ont subi des moments très dures et tous les lois ont été citées afin de toujours lui accorder le privilège de continuer.
Les enseignants volontaires au sein de cette innocente association sont l’organe primordial et se sont réunis pour étudier afin de porter des solutions compétentes à ce fléau mais à leur très grande surprise, des lettres ont été écrites et émises dans l’ensemble des six autres antennes de l’association mère leur qualifiant de fantômes.
Tout cela était un slogan qui voulait saccager les objectives de l’association ainsi que sous-estimer ces enseignants volontaires qui défendaient l’intérêt général de l’association pour y accéder à une privatisation. L’unité de ces enseignants volontaires en a été fructueuse tant qu’un calendrier électoral était mis en place dans les meilleurs délais. Il y a à peine un an et demi depuis que l’Association des Jeunes pour la promotion de la langue anglaise Yes We Can Comoros a été sous le silence total.
Aujourd’hui, avec les élections tenues entre ces trois candidats : Boina Mze Hakim, Abdoul-halim Soulé et Amine Abdallah dont Abdoul-halim Soulé les a remporté et est le successeur de Salim Ismael. Son élection à cette poste de président a fait que plusieurs des non-adhérents ont eu l’ambition à vouloir y faire parti à l’Association. Par Youssouf Nadjim