L’ANACM est entre de bonnes mains
L’Agence Nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie(ANACM) est dirigée, quoi qu’on en dise, par une personne digne de confiance qui affiche des ambitions sérieuses pour l’avenir de l’agence. Jean Marc Heintz, apparaît en effet, un directeur courageux, qui aime les agents sérieux dans leurs obligations, qui ne tolère pas la médiocrité, les suspicions, les manigances qui caractérisent les administrateurs d’aujourd’hui. Hyper actif il ne cesse d’explorer des nouvelles pistes pour motiver le personnel et stimuler ce dernier à travailler mieux et davantage. L’homme a apporté une nouvelle dynamique dans sa conception du travail qui appelle nécessairement une mobilisation des compétences qui est en rupture totale avec les habitudes des agents de l’établissement.
En ma qualité de stagiaire à l’ANACM depuis moins d’un an, je distingue en effet des différences notables dans le management de l’agence entre le directeur sortant, M. Bourhane A. Bourhane qui était lent et sans méthode visible, et le directeur entrant, M. Jean Marc Heintz qui a la hantise du travail bien fait, sans cesse en mouvement, organisant à la hâte des réunions d’explication dans lesquelles on peut comprendre clairement ses objectifs. Aux nombres de ses objectifs, notre actuel directeur souhaiterait rehausser l’agence en un niveau plus ou moins égale en qualité aux meilleures agences, « comme celle de la Mauritanie » a-t-il déclaré dans un discours le 10 octobre denier à son arrivée de Montréal à une réunion de l’Organisation de l’ Aviation civile internationale (OACI).
Notons que son voyage de Montréal a renforcé la détermination de Jean Marc pour changer en profondeur l’ANACM. Dans son discours du 10 octobre, il a en effet annoncé sa résolution d’atteindre au moins 60% des objectifs qu’il s’est fixés ou que l’OACI a fixés pour l’ensemble des membres de l’organisation. Pour commencer son plan, Jean marc a compris, au contraire de ses prédécesseurs, qu’il devait tendre la main à son personnel en acceptant de satisfaire quelques revendications de longue date. Ainsi, il a augmenté les frais de transport du personnel, pris en charge la santé du personnel et de sa famille, indemnisé les jours fériés, prévu même une prime pour les agents méritants, etc. autant des mesures censées motiver plus que jamais le personnel. La discrétion d’un agent stagiaire m’oblige à ne pas faire de commentaires sur les projets en cours. Elle ne m’empêche pas toutefois d’exprimer mon admiration et mon soutien pour cet homme dont des individus de mauvaise foi prennent en ce moment pour cible afin de l’affaiblir dans son élan pour le développement de l’ANACM.
Dans tous les cas, j’ai voulu apporter mon témoignage, si modeste soit-il, contre les gens qui ne font que dénigrer et critiquer à tort et à travers comme moyen de défendre leurs intérêts personnels et ainsi gagner leur pain.
MBAE Mohamed, Stagiaire à l’ANACM