Aimer la Nation revient à avoir pitié du peuple!
Depuis un bon moment, les sociétés nationales rendent ses clients fidèles des esclaves. Je me souviens de mon père quand il me disait « chaque chose à sa fin ». Oui je suis soumis à cette conviction de sorte que je sois prêt à le défendre devant mes futurs anges. Des symptômes d’épreuves commencent à apparaitre en surface. La fin de conflit des intérêts personnels débutent à prendre ampleurs aux Comores. Le cas de Comores Télécom et Telco, je l’en précise. Je vous préviens que le fait d’aimer la société nationale n’est pas un acte patriotique. Et embrasser son rival n’est ni ennemi de la nation comorienne ni un signe de corruption.
Comores télécom d’ailleurs doit avoir un intérêt de bien former son personnel et renforcer son équipe pour être prêt à se lancer dans une phase concurrentielle. Lutter contre Telco n’est une eau à boire. Les insultes sans fondement n’ont pas une place sur le marché actuel. Alors, vous devez mettre vos délires derrières la tête afin de se battre légalement et professionnellement.
Le coup d’envoie sera bientôt sifflé dans un instant éphémère et le match va durée cette fois-ci, longtemps que d’habitude. Que le meilleur gagne légalement sans peine!
Pour finir, aimer un pays et piétiner son peule ne sont pas compatibles au patriotisme. Je suggère qu’on aime tout d’abord le peuple pour faire satisfaire les besoins de la nation. VIVE LA FORCE LEGALE DE COMORES TELECOM !!!!
ABDOUL-OIHAB Ibrahim, étudiant comorien de Madagascar