Opportunités ou Limites
L’ancien rais Ahmed Abdallah Mohamed SAMBI continue son amertume en affichant ses limites quant aux choix des dirigeants pour lui succéder à la magistrature suprême de notre pays.
L’aventure sur le choix de son ancien vice-président Ikiloulou Dhoinine, n’a pas malheureusement pas servi de leçon.
Aux yeux de tous les comoriens, SAMBI demeure le premier responsable de la dégradation de la situation économique et diplomatique de notre pays après son décollage. Une situation dramatique qui a bien hérité le Président Azali Assoumani.
Le feuilleton FAHMI SAID IBRAHIM alias DONALD TRUMP
Lors des dernières élections présidentielles, le même SAMBI qui est un calculateur de ses intérêts personnels, ose imposer Bradoc comme candidat indépendant soutenu par la coalition Juwa – Pec sous prétexte qu’il lui resta fidèle au détriment du développement de notre pays. Lors de l’investiture du candidat Fahmi, actuel ministre de la justice, au foyer des femmes de Moroni, l’homme au turban a demandé au candidat Fahmi de lui prouver sa fidélité devant les militants présents. Profitant de la charme et de la popularité de Sambi, l’imposteur Fahmi Said Ibrahim, a su rassuré l’assistance pour la fidélité en jurant sur la tête de ses enfants.
A nos jours, il souffle un vent de panique au sein du parti Juwa. Ces militants et sympathisants continuent à purger les insultes, les humiliations, les intimidations de Donald Trump, Fahmi Said Ibrahim. Trump ne mérite aucune considération dans le parti.
Titulaire d’un bac + 1, Donald Trump est devenu avocat avec la compilation des diplômes de son frère Mourad Said Ibrahim. Un avocat qui selon Said Youssouf, n’a jamais gagné un procès au tribunal vu ses limites de compétences en matière de droit, et la doute sur les diplômes selon certains de ses confrères. Arrogant et ingrat qu’il est Trump a lâché tous ses anciens collaborateurs, ses fervents défenseurs qui devenus indésirables pour lui.
Malgré toutes ces lacunes, cela n’empêche pas Sambi de porter encore une fois son choix pour le poste de Secrétaire Général du parti lors du prochain congrès. A – t – on vraiment besoin d’être surdoué pour comprendre qu’en réalité, les choix de Sambi ne sont ni plus ni moins que des pièces théâtrales dont le scénario est le même « le désarroi total ». Sambi n’a pas appris la mauvaise gestion et l’incapacité de Donald Trump de mobiliser les militants lors de la crise électorale, qui a vu sa victoire s’envolé dans la nature ?
Alors pourquoi Sambi s’empêtre dans un pratique dont il connait déjà les limites ? Certainement, il y a anguille sous roche pour les choix de Ahmed Abdallah Mohamed SAMBI.
BEN ABDALLAH SALIM