Après deux mois de vacance, le retour des « je viens » entraîne des journées noires dans les agences de voyage. Les compagnies aériennes so...
Après deux mois de vacance, le retour des « je viens » entraîne des journées noires dans les agences de voyage. Les compagnies aériennes sont sous pression et la forte demande multiplie les contraintes des passagers. Un calvaire que les « je viens » endurent chaque année.
Depuis deux semaines déjà, les bousculades s’accumulent devants les agences des voyages. Les vacanciers se heurtent comme chaque à année à des problèmes de place pour leur retour en France. « S’est devenu comme une règle a chaque année il faut qu’il y ait des problèmes de retour mais on ne comprend pas que quelqu’un qui a pris un billet aller retour avec des dates précises trouve de problèmes pour son retour, c’est inconcevable », a-t-il remonté Mhadji Ali, un vacancier rencontré devant l’agence de Kenya Airways.
En plus du calvaire de leur arrivée, le retour n’a jamais été simple pour ces vacanciers. Chaque année, d’autres problèmes surgissent. « C'est compliqué de venir en vacance, a notre arrivée on fait parfois 3 à 4 jours sans avoir nos bagages, et au retour la chose se complique également, manque de place, avion annulé tout est imprévisible », a-t-il raconté la jeune dame vacancier Ahmada Mariama.
Mais du coté des agences, le ton est différent. «Parfois, ce n'est pas une contrainte que les agences leur impose. Ce sont eux qui veulent imposer leur date aux agences», explique-t-il un agencier sous couvert de l’anonymat. Lui d’ajouté que « les gens veulent partir le plus vite possible dans leur travail et certains veulent changer la date. Il y a ceux qui veulent changer des compagnies et qui veulent une date proche pour pouvoir arriver attend mais y a également ceux qui n’ont pas confirmé leur date départ jusqu’au jour du départ et la compagnie ne peut pas être sur de ce passager ce qui provoque généralement ce débordement», a-t-il expliqué.
Lui de précisé que « c’est une période de grande affluence durant laquelle les vacanciers du monde entier ont envie de profiter au maximum de leurs congés et les gens sont très demandeurs mais ce qui nous pose problème souvent ce n’est pas le départ ici mais la transite dans un autre pays, il faut qu’on gère ça pour le passager ne soufre très long temps dans son voyage », affirme-t-il notre source.
Lui de précisé que « c’est une période de grande affluence durant laquelle les vacanciers du monde entier ont envie de profiter au maximum de leurs congés et les gens sont très demandeurs mais ce qui nous pose problème souvent ce n’est pas le départ ici mais la transite dans un autre pays, il faut qu’on gère ça pour le passager ne soufre très long temps dans son voyage », affirme-t-il notre source.
Nakidine Hassane