BEN SOULEYMANE ANRIFI souffre le martyr et est à deux doigts de la démence. Heure par heure, il assiste à la mort de ses plans machiavéliqu...
BEN SOULEYMANE ANRIFI souffre le martyr et est à deux doigts de la démence. Heure par heure, il assiste à la mort de ses plans machiavéliques, à l'absurdité de ses contrevérités et par un acharnement du destin, il vit l'effondrement de ses alliées.
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| Kamal Ali Yahoudhoi |
L'abus de confiance qui s'est soldé par le vol en bande organisée du générateur de la station RTN place son Excellence Mister KAY au centre de ce crapuleux délit.
Désorienté, notre journaliste Kamal Ali Yahoudhoi cède la plume de la haine à son mentor ANRIFI pour tenter de faire diversion en criant à une vengeance. C'est reconnaître la campagne de désinformation fabriquée dans l'intention de nuire Miftah Abdallah Mchindra.
Les anjouanais ne sont pas dupes et ceux, nombreux, qui connaissent le Directeur de Cabinet, savent son intégrité morale, son sens du devoir et son respect des principes humaines.
La poursuite de KAY répond à l'impérative nécessité de lutter contre les abus de pouvoir, les impunités, et ceci cadre avec la politique du Chef de l'Etat qui dit, je cite: la justice n'est pas faite juste pour punir les voleurs de chèvres..., fin de citation.
Dans les derniers moments de l'agonie, la bande à ANRIFI peine à se faire entendre et se perd. C'est ainsi que finissent les hypocrites. Tant pis pour ceux qui sont en retard de la mutation sociale annoncée: "OUSSAWA WA HAKI"
BEN ALI
