Je me permets violemment de critiquer la mise en examen de Mohamed Abdou (BRANDO) dans l’affaire d’assassinant d’une jeune femme à Anjouan....
Je me permets violemment de critiquer la mise en examen de Mohamed Abdou (BRANDO) dans l’affaire d’assassinant d’une jeune femme à Anjouan.
Sans pour autant regardé mes propos comme outrage à un magistrat et discrédit sur une décision de justice, je comprends que la première infraction est passible d’emprisonnement ainsi pour la seconde.
Mais, j’estime que, le juge d’instruction d'Anjouan chargé de l’affaire BDRANDO, a déshonoré un homme même s’il a été un criminel et, la justice. Je conteste la manière dont il a fait son travail, la présentation du présumé criminel au tribunal n’est pas un dérapage incontrôlé c’est plutôt une décision grotesque, une salissure pour les Comores.
Pourquoi, une instruction aussi vite sur affaire de meurtre alors même ce présumé criminel avait déjà une affaire à Mohéli et ou l’enquête du procureur de Mohéli pose aussi un problème de principe touchant à la liberté de BRANDO! Il n’y a pas une précipitation à juger un présumé criminel.
Et je vous rappelle, messieurs les magistrats, personne ne doit pouvoir échapper à la critique donc, le juge comme le parquet d’Anjouan ont commis une faute.
Et je me permet de vous rappeler Messieurs les magistrats que : Le fait de chercher à jeter le discrédit, publiquement par actes, paroles, écrits ou images de toute nature, sur un acte ou une décision juridictionnelle, dans des conditions de nature à porter atteinte à l’autorité de la justice ou à son indépendance,cette infraction est très largement tombée en désuétude lorsque le juge commet un infraction alors, je critique vos procédures.
Je ne demande tout simplement les démissions du procureur et le juge d’instruction d’Anjouan parce qu’ils ont commis un crime conséquent.
Ils n’ont pas leur place des magistrats dans notre société et nous n’avons pas confiance en eux.