Le journalisme n'est pas de la sauvagerie ni de la rébellion. Le journaliste est libre par rapport à son article. En revanche, être lib...
Le journalisme n'est pas de la sauvagerie ni de la rébellion. Le journaliste est libre par rapport à son article. En revanche, être libre, est-ce être capricieux et faire n'importe quoi? Sans doute que non. C'est dommage de voir que certains prétendants journalistes font de cette liberté quelque chose de sauvage et de rebelle. Le journaliste doit éprouver le sentiment de devoir, ne pas mentir. Il est en agissant ainsi libre. En effet, cette occupation principale qui est l'exercice de l’écriture dans le journal, pour nous donner des informations soit en relatant des faits ou nous faire part des réflexions personnelles, est noble.
Alors que ça cesse la plume rageuse qui aboie à la façon des perroquets. Il est temps que cette maladie honteuse s’arrête. Ça suffit! Nous n'avons pas besoin des fous qui souffrent de leurs diffamations. Des fous n'osant plus regarder leurs mains et ils se mettent à sangloter les yeux pleins de larmes. C'est un métier qui ne connaît pas des crapuleux. C'est une humiliation horrible de voir dans ce beau métier des voyous passionnés par la fausseté de leurs écrits car ils n'ont pas peur de se rabaisser par la honte. Car après ils peuvent se martyriser sur les réseaux sociaux. Assez divagué ivrognes affreux car vos saveurs sont amères. Pourquoi être secoué par la folie de cartonner en errant à travers une triste plume vénéneuse ? Quelle attitude funèbre ! La puanteur de ces pensées-mortes dans le cerveau au goût macabre de ces prétendants journalistes ? D’où viennent leurs effets fantômes des petites plumes défrisées à l'esprit de critique ?
Il est temps de corriger cette plume aveugle et muette qui s'inspire de l'erreur dans le désir de bafouer. Démêlons les ces sombres plaintifs malhabiles car ils paraissent se dissoudre dans la pénombre. Alors un peu d'objectivité s'il vous plaît dans ce métier. Il n'est pas rare d'entendre dire qu' « il faut être objectif » c'est-à-dire ne pas se laisser influencer par exemple par des sentiments personnels dans son jugement, qu'il faut considérer « les choses comme elles sont ». Il est nécessaire d’éviter la subjectivité qui est un point de vue immédiat et spontané, les partis-pris particuliers.
De lors, comment la subjectivité pourrait-elle être objective ? Que signifie être objectif, pour une subjectivité ?
Être objectif pour une subjectivité présente quelque chose de contradictoire. Je pense qu'il ne faut pas seulement voir qu'une partie de la chose. Il faut faire la part des choses et la part de la pensée pour éviter une apparente incohérence et tomber dans une prétention excessive et une confusion de sens dans la supposition d'une capacité de la subjectivité d’être objective. Le journaliste est persuadé d’être tout de suite dans le vrai. Il faut un effort particulier de l'esprit pour se convaincre de ce qu'il s'agit lorsqu’on écrit un article pour éviter le point de vue, la perception. Il ne faut pas que la perception soit déformée, affaiblie par le manque de discernement.
Alors que dans ce métier, je crois qu'il est nécessaire de s'oublier et faire une pure transparence pour ne faire que révéler la réalité.
Bref, sans conscience de soi, la subjectivité n'ouvre qu'à une objectivité illusoire modifiant de son propre regard le spectacle des choses sans le savoir ; transformant les choses en les croyants tels, en elles-mêmes de son propre fait. Ainsi donc, la subjectivité doit accomplir une étape fondamentale qui est de s'attacher à prendre conscience d’elle-même, de saisir voir même son rôle actif dans la production d'un article, primo. Secundo, attaché à cette valeur qui est la liberté d'expression et surtout pour plus de véracité dans la composition des faits dans le monde journalistique.
Par Massim Hadji