Photo archives - « Voici à quoi ressemble, ce que le peuple comorien appel Eldorado, ce n’est pas étonnant qu’on soit pauvre, on aime la...
Photo archives - « Voici à quoi ressemble, ce que le peuple comorien appel Eldorado, ce n’est pas étonnant qu’on soit pauvre, on aime la pauvreté »
Pour les Comores, l’ile Mahoraise reste un territoire comorien même après sa soit disant départementalisation, le drapeau comorien porte toujours les quatre étoiles et la bande de couleur blanche qui représente Mayotte.
Le tsunami de pauvreté qui inonde les trois îles de l’archipel poussent les comoriens au bout et à recourir à n’importe quel moyen pour entrer dans son île voisine à la recherche de l’eldorado mahorais.
La mise en place du visa Balladur qui était censé diminuer l’afflux a eu l’effet inverse et une abondance de clandestinité qui ne risque pas de s’arrêter aujourd’hui. Le secrétaire général de la présidence de la République Française de 1973 Edouard Balladur est devenu l’ange de la mort. Aujourd’hui le peuple comorien cri, pleur, des larmes qui coulent pour les milliers de morts aux cotes mahoraises et que la communauté internationale aveuglé par le « Géant Français » face au « petit comorien » ne peut pas les séchés.
Les iles comoriennes ont connues en 1975 une indépendance embryonnaire qui est un des causes de notre pauvreté. En 2011 Mayotte comme leurs ancêtres sont encore victime la précocité et la volonté sans faille de l’Etat français dans un soit disant référendum pour la départementalisation qui ne fait qu’attiser les problèmes.
La recherche de la nationalité française est-elle plus importante que la vie de chacun de nous ? Comme je le dit souvent on ne fait que blâmer les gouvernements de tous les maux da nation et on oublie que les mahorais sont « des comoriens » et que ce sont eux qui ont décidé de nous quitter nous leurs frères de sang pour rester avec leur oppresseurs. Devrions-nous nous demander pourquoi sont-ils vraiment partis ? La drôlerie est simple, ils sont mieux sans nous.
Aux lieux de s’acharner à trouver une solution pour faire revenir Mayotte aux Comores ce qui est peut-être en soit une cause perdue, nous devons se consacré sur nous-même et faire de notre pays un meilleur endroit de vie dans la paix sociale et la sécurité économique. Et là et seulement dans ce cas on peut se préparer à aller vivre le combat entre David et Goliath et peut être finalement par un miracle le Nil deviendra encore une fois rouge.
Par Omar Ibn Abdillah
Par Omar Ibn Abdillah