Dans un article publié sur les réseaux sociaux par le premier adjoint à la mairie de Mamoudzou et dont habarizacomores.com a pris connaiss...
Dans un article publié sur les réseaux sociaux par le premier adjoint à la mairie de Mamoudzou et dont habarizacomores.com a pris connaissance, Bacar Ali Boto s'emporte contre ses frères et sœurs des autres îles qu'il qualifie de "délinquants et trafiquants". Ce fonctionnaire oublie que d'après les chiffres de la délinquance publiés par la préfecture de Mayotte, on relève plus de 70% de personnes de nationalité française. Boto appelle ou craint d'après ses mots à "une guerre de libération".....
Ci - dessous le message de Bacar Ali Boto, premier adjoint au maire de Mamoudzou
La population de Cavani vient à son tour de se révolter contre les délinquants et les trafiquants originaires des autres îles résidant dans leurs quartiers. Comme de nombreux français de Mayotte, je suis préoccupé et très inquiet de constater que malgré les multiples alertes lancées par la population (les soulèvements contre les clandestins à Sada, Mtsangamouji, Tsimoukoura, Mtsamboro, Poroini, ..., aujourd'hui à Cavani), par les associations (les Femmes leaders, le Cosem, le Collectif des citoyens inquiets, ...) et par les différentes interventions des élus, notamment nos Parlementaires, sur l'imminence d'une confrontation généralisée entre la communauté des immigrés clandestins et les Mahorais, les pouvoirs publics, en particulier l'Etat et le Gouvernement restent insensibles, aveugles, sourds et muets.
En effet, tous les indicateurs sont en rouge et tous les ingrédients sont réunis pour une telle confrontation. Il ne s'agit plus, à la lumière de l'évolution des événements, de savoir si cette confrontation généralisée que certains nomment "guerre civile" et que personnellement j'appelle "guerre de libération" aura lieu. Il s'agit plutôt de savoir quand va-t-elle débuter et comment va-t-elle finir ? Le terme de "guerre civile" à mon avis n'est pas adapté dans le cas de Mayotte.
Par définition une guerre civile oppose une partie de la population locale à une autre partie de cette même population. En effet ici, les Mahorais ne se soulèvent pas contre d'autres Mahorais. Les Mahorais expriment aujourd'hui plutôt leur ras-le-bol face à cette invasion massive de populations étrangères clandestines. Face à cette agression perpétrée par des étrangers en situation irrégulière, les Français de Mayotte se trouvent en situation de légitime défense et vont devoir, malgré eux, se défendre par tout moyen pour libérer leurs terres, protéger leurs biens, sauver le développement et la modernisation de l'île, sauvegarder leurs cultures et traditions et garantir une existence paisible pour la génération future.
Cette guerre de libération n'est pas inéluctable à condition que l'Etat veuille bien prendre ses responsabilités. Je rappelle que la surveillance et la sécurisation des frontières nationales, La Défense du territoire national ainsi que la politique de l'immigration sont des compétences régaliennes. Donc, seul l'Etat dispose des moyens et des pouvoirs indispensables pour rompre cet enchaînement infernal. La France, notre pays, est une grande puissance. Elle a réussi à vaincre les pirates du Canal de Mozambique. Elle a libéré le Mali des terroristes.
Elle est en phase avec nos alliés de détruire l'Etat Islamique en Irak et en Syrie. Alors comment peut-on imaginer une seconde que des "Kwassakwassa" mal équipés et non armés mettent en déroute notre Marine nationale et l'ensemble de nos forces maritimes ? Je refuse d'admettre que ce sont nos militaires et nos policiers nationaux qui ne sont pas à la hauteur. Dans ce cas, je ne vois qu'une seule explication : l'Etat laisse faire et laisse entrer volontairement les clandestins à Mayotte.
Sinon comment peut-on expliquer la présence massive et quotidienne des personnes en situations irrégulière à la Préfecture, dans les hôpitaux et dans les administrations publiques, notamment à la Direction des services fiscaux située à quelques dizaines de mètres du Commissariat de Police et de la Gendarmerie nationale ? Ces déclarations d'impôts de la part des personnes en situation irrégulière n'auraient-elles pas comme objectif principal d'officialiser l'existence du déclarant, en fait du clandestin, sur le territoire français de Mayotte.
Les étapes suivantes consisteront respectivement à accorder aux actuels clandestins la carte de séjour et la naturalisation plus tard. D'après vous quelle pourrait être la finalité de cette politique de régularisation massive des clandestins ? J'attends vos suggestions. Signé Bacar Ali Boto