Tant que jeune et future cadre au destin non fulgurant, je relate mes mécontentements institutionnels vis-à-vis à la décision prononcée par...
Tant que jeune et future cadre au destin non fulgurant, je relate mes mécontentements institutionnels vis-à-vis à la décision prononcée par la cour constitutionnelle comorienne. Je me déclare contre l’attitude de la cour constitutionnelle à ne pas appliquer la justice et ou une jurisprudence.
On devrait être dans un Etat de droit où la démocratie est un facteur commun. Mon indignation s’exprime aussi à l’endroit de la classe politique et de tous les démocrates engagés pour le silence gouvernemental face aux différents résultats obtenus par la CEII, CENI, les experts observateurs internationaux.
Le double scrutin du 21 février dernier est une source qui mène le pays non seulement dans un désordre national mais aussi vers une quarantaine socio-politique. La cour constitutionnelle a pris le relais d’envahir les Comores en obligeant le peuple comorien de choisir l’un des trois candidats dont on les juge capable de nous apporter peu dans les cinq années à avenir.