Il ne s’agit évidemment pas de minimiser l’importance de l’argent dans toute campagne électorale. Pour cette élection harmonisée des gouver...
Il ne s’agit évidemment pas de minimiser l’importance de l’argent dans toute campagne électorale. Pour cette élection harmonisée des gouverneurs et présidentielle, il est prétendu que plus de 10 milliards sont hypothéqués et la population frotte les mains et attend qu’on remplisse leur poche avant de se rendre aux urnes.
Si certains candidats croient à leur popularité et ses œuvres du passé pour se faire élire, d’autres n’y croient pas et pensent que l’argent sera la clé de voûte pour être élu. Selon, les analyses des uns et des autres, plus de 10 milliards de nos francs ont été engagés dans la bataille, faisant de ces élections les plus chères de l'histoire. « Nous vivons dans un monde où l’argent corrompt la politique qui vit de ses financements. C’est la base-même de la politique comorienne. Ce n’est pas très nouveau et c’est normal puisque certains candidats n’ont pas du passé et n’en parle plus une vision donc, il faut qu’ils déboursent l’argent pour se faire connaitre au moins », a-t-il analysé, Ali Ibouroi un professeur d’histoire géographie.
Si certains candidats croient à leur popularité et ses œuvres du passé pour se faire élire, d’autres n’y croient pas et pensent que l’argent sera la clé de voûte pour être élu. Selon, les analyses des uns et des autres, plus de 10 milliards de nos francs ont été engagés dans la bataille, faisant de ces élections les plus chères de l'histoire. « Nous vivons dans un monde où l’argent corrompt la politique qui vit de ses financements. C’est la base-même de la politique comorienne. Ce n’est pas très nouveau et c’est normal puisque certains candidats n’ont pas du passé et n’en parle plus une vision donc, il faut qu’ils déboursent l’argent pour se faire connaitre au moins », a-t-il analysé, Ali Ibouroi un professeur d’histoire géographie.
Selon une source digne de fois, le candidat soutenu par le pouvoir a engagé plus de 2 milliards pour sa campagne. Bien que notre source ne croit pas à son élection, mais elle croit que cette somme est gigantesque pour un pays comme le notre. « Je crois cependant que l’argent ne suffit pas. Il est très compliqué même s’il sera élu pour un président qui a perdu le respect de la majorité du peuple comorien. Alors, même s’il arrive à acheter les électeurs, il sera difficile d’acheter son image ardente et il restera impopulaire », a-t-elle justifié notre source.
D’autre source nous confirme que « pour faire une bonne campagne présidentielle, il faut au minimum avoir 600 millions et 300 millions pour le gouvernorat », a-t-elle supposé notre source. Elle de faire le constat que « la majorité de la population est en attente du plus offrant pour voter surtout, les candidats du pouvoir. Par contre, il y a des candidats qui ont des fiefs et des sympathisants qui seront voté même s’ils ne donnent rien. Cependant, il ne suffit pas d’avoir de l’argent pour penser qu’il sera élu même si la campagne se résume par l’argent et que la population attend beaucoup de flic aux candidats malgré que jusqu’à présent, ils ne donnent pas grand chose », a-t-il résumé notre source. Pour sa part, Mzé Mbechezi déclare que « on sait que tous ces candidats ne pensent qu’a eux et leur familles. Alors s’ils ne nous donnent pas l’argent, on votera nul puisqu’on sait qu’on le verra jamais dans nos villages et ils ne se préoccuperont plus à nos problèmes, a parti du 21 février, ils mettront tous des vitres tintin dans leur voitures », a-t-il déclaré.
Par Nakidine Hassane