LE CHANGEMENT C’EST L’ENGAGEMENT La grande question aujourd’hui est bien celle du monde que nous allons léguer aux générations futures....
LE CHANGEMENT C’EST L’ENGAGEMENT
La grande question aujourd’hui est bien celle du monde que nous allons léguer aux générations futures.
C’est aussi parce qu’il s’agit de l’avenir des Comoriennes et Comoriens et de leurs enfants que j’ai souhaité prendre toute ma part dans ce combat au coté d’un homme de convictions.
Je ne suis pas un professionnel de la politique.
Je peux donc faire de la politique sans arrières pensées électoralistes.
Mon engagement politique correspond à un besoin de participer à l’amélioration de la vie collective.
Il est né d’une profonde admiration pour l’ancien président de l’assemblée Nationale BOURHANE Hamidou et son engagement pour notre pays. Je suis porté par ses valeurs humanistes et je crois aux repères qui ont fondé notre société Comorienne.
Dans quelques mois, nous allons voter pour désigner le nouveau président de la république.
Ces élections présidentielles sont capitales car elles déterminent l’avenir de notre pays. Aujourd’hui, nous sommes à la croisée des chemins : quelle société voulons-nous pour demain ? Que souhaitons-nous léguer à nos enfants?
Nous le savons, notre société traverse des crises économiques, financières et morales…
Depuis plus de quarante ans, les mêmes personnes gèrent le pays comme leur maison familial, l’argent public n’a cessé d’être dilapidé, des crédits toxiques empoisonnent notre pays et menacent l’avenir de nos enfants, nos PME sont fragilisées par des charges et une administration trop lourde, notre système éducatif est à l’abandon et ses résultats sont lamentables et catastrophiques
La famille est de plus en plus menacée, notre jeunesse semble de plus en plus en quête de sens. L’insécurité et la délinquance juvénile progressent partout dans le pays et la justice est en panne.
Face à cela, nous n’avons plus le droit de nous taire.
Nous avons le devoir d’agir.
Mon serment auprès du candidat Bourhane HAMIDOU est d’abord une démarche citoyenne et l’engagement politique est pour moi un service.
Constatant le désastre éducatif de l’école et la fragmentation familiale dont sont victimes tant d’enfants, j’ai décidé d’être sur le terrain et proposer d’autres orientations pour cette jeunesse à la dérive et lutter ensemble contre les mots qui frappent notre société.
Pour lutter contre la dette colossale de notre pays, l’Etat doit s’engager à réduire ses dépenses et son train de vie en adoptant la bonne gouvernance.
Depuis leur création en 1944, la Banque mondiale (BM) et le FMI ont soutenu activement toutes les dictatures et tous les régimes corrompus du Camp allié OCCIDENTAL .
Ils piétinent la souveraineté des États en violation flagrante du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes du fait notamment des conditionnalités qu’ils imposent.
Ces conditionnalités appauvrissent la population, accroissent les inégalités, livrent les pays aux transnationales et modifient les législations des États dans un sens favorable aux créanciers et « investisseurs » étrangers.
Nous sommes un pays pauvre c’est certain mais notre souveraineté n’est pas négociable.
On doit adopter la bonne gouvernance comme vecteur de réussite garantie.
La ‘bonne’ gouvernance : un modèle de développement aux ambitions économiques, politiques et institutionnelles.
A force de discuter avec les amis sur les réseaux et autres personnes politiquement et socialement engagées, comme certains des élus que j’ai eu la chance de côtoyer et autres personnes de la société civile, je me suis rendu compte qu’ils avaient tous des raisons presque semblables pour s'engager : le renversement de la spirale. En ce qui me concerne, mon engagement politique est une révolte contre le statu quo.
C’est contre l’autoritarisme, la pauvreté, la peur du lendemain que je me suis engagé.
Mon ambition est de prendre le chemin inverse, c’est-à-dire celui de la vie heureuse, de liberté, de solidarité, d’égalité, de justice et de droit, non pas en tant que spectateur, mais comme acteur
Les électeurs veulent avoir confiance en ceux qui les représentent.
Il nous faut réfléchir sur la place de l’Homme et de nos convictions dans tous nos choix politiques.
Je soutien une candidature de convictions de changement et c’est pour moi un fondement essentiel.
Les amis, Ensemble le changement est possible.