Quel aveuglement? Quelle bassesse à soutenir l'insoutenable? Il n'y a aucune excuse, même celle qui consiste à dire qu'on ne vo...
Quel aveuglement? Quelle bassesse à soutenir l'insoutenable? Il n'y a aucune excuse, même celle qui consiste à dire qu'on ne votera jamais, mais nous prenons notre argent. Ça n'est pas de l'argent, mais un vaccin pour la diabète, les cancers, les maladies d"Alzheimer...
Il y a moins de sept ans, ANISSI n'avait pas plus qu'un kwassa et moins de 500 Euros mensuel toute activités confondus; MOHAMED AFFANE, moins de 300 Euros mensuel versé une fois le trimestre, voire même le semestre.
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A ce jour, ils ont la capacité d'acheter un village, de vivre dans l’opulence, dix ans sans avoir à travailler. Ce ne sont pas des contes de fées, mais hélas! la triste réalité. Oui triste et dramatique puisque vous savez la fin de vivre de la sueur des autres des biens publics. Ils sont légions les exemples, malheureusement, de ceux qui n'ont fait que contempler les délices entassées dans leurs frigo/congélateurs, car leur état de santé leur impose de se nourrir de la liquide provenant d'un fruit à pain à la limite du consommable.
A Bimbini, les trois quartiers généraux du gouverneur candidat sont tenus par les frères et sœurs de l'intérimaire, un signe qui ne trompe pas. L'absence de confiance ou la soif de bouffer les biens de l'île, sinon les deux. Nawirou Affane à l'entrée du village, Hadidja Affane, à l'autre bout du village et Sitti Affane, pardon Ahmed au centre.
CHIBA, BASSADI, ELHAD MAHAMOUD, FAIZ ABDALLAH, SOYADI, même si vous singez, c'est un mauvais service que vous rendez à Bimbini et l'histoire en tiendra compte. WATROTRO et ODACK semblent privilégier les liens familiaux et s'embarquent dans la tempête vers l'aventure ambiguë. Les autres porteuses de valises nés pour courber l'échine sont à plaindre. Je préfère ne pas les nommer.
BEN ALI