Après avoir été un modèle de Genève en terre comorienne, voilà aujourd’hui que les Mohéliens veulent instaurer à Mohéli le modèle de la gra...
Après avoir été un modèle de Genève en terre comorienne, voilà aujourd’hui que les Mohéliens veulent instaurer à Mohéli le modèle de la gratitude en matière politique comme mode d’émulation politique. Cette technique qui consiste à consacrer, à gratifier ceux qui ont le mérite et qui se sont distingués par leurs actions d’intérêt général vise à encourager les impétrants politiques à agir davantage pour le peuple.
À ce titre, tous, ensemble, les Mohéliens sont derrière la candidature du président de l’action et de l’égalité politique M. Azali Assoumani. Ils ont eu raison. Car Azali Assoumani a innové en matière politique et en matière régulation des conflits. Sa méthode a même inspiré tant d’experts engagés dans des zones de conflits. Ils ont eu raison parce que qu’Azali Assoumani a redonné à cette île la dignité qu’elle mérite et a fait d’elle un modèle de Genève. Eux, les Mohéliens, ils le savent et en sont reconnaissants et ils le disent :
Par Msa Ali Djamal
« Azali n’a pas besoin de faire campagne à Mohéli. D’abord parce que Mohéli lui doit une reconnaissance éternelle. Celle d’avoir fait en sorte qu’un enfant Mohélien puisse un jour accéder à la magistrature suprême. Ensuite, Azali est le premier président comorien à avoir eu dans son gouvernement quatre Mohéliens et enfin, Azali est le père de l’essentiel des infrastructures de développement de notre pays de ces vingt dernières années notamment la téléphonie mobile, l’université, la télévision nationale etc. Mohéli a une dette à payer au Président Azali et le moment est venu pour l’île de Djoumbe Fatima d’honorer sa dette. ». Voilà le message de vérité, le message de la gratitude de nombreux Mohéliens qui se sont déplacés ovationner le président de l'équilibre des îles malgré le temps pluvieux.
À ce message, le candidat de l’honneur des Comores M. Azali Assoumani interpelle les esprits libres de Mohéli comme d’Anjouan et de la Grande Comores de s’opposer à la politique du ventre, à l’achat de conscience et d’oser dire non à ceux qui ont comme seul moyen de gagner la victoire l’achat de conscience, les menaces de licenciement, les embauches éphémères…
Face à cette triste alternative, Azali Assoumani incite les citoyens de choisir avec dignité et en conscience une autre alternative digne et républicaine, celle d’une équipe qui a une vision, un projet et une ambition pour la construction de Comores. L’équipe gagnante de la CRC est bien celle-là la plus républicaine dont l’offre politique répondra aux aspirations du peuple Comorien.