L'élection présidentielle de 2016 risque de se jouer entre ces quatre hommes politiques. Ils ont tous un point commun: Aucun programme ...
L'élection présidentielle de 2016 risque de se jouer entre ces quatre hommes politiques. Ils ont tous un point commun: Aucun programme pour sortir le pays du marasme économique. Chacun à sa spécificité. Je me tente...
AZALI, le réfugier de l'ambassade de France lors du coupé d'État de 1995, est le premier responsable de l'état actuel du pays. Le colonel putschiste avait, presque à lui seul, le pays en main entre 1999 et 2002. Il avait une occasion en or de proposer de vraies réformes de redressement structurel à l'image d'un certain Jerry Rawlings au Ghana. Il ne l'a pas fait. Il s'est mis à faire de la politique politicienne. Aujourd'hui, ne cherche-t-il pas à reconquérir le pouvoir pour flatter son propre ego des huées de 2006?
Quant à SAMBI, le marchand de rêves, la chose est complexe: L'Ayatollah est tout simplement déconnecté du monde réel. À cela s'ajoutent sa nouvelle maladie psychique de soif de vengeance et la contrainte constitutionnelle.
MOUIGNI est pour moi le synonyme de l'Incompétence. Grand amateur de viande de cabri, le Tibétain pense diriger le pays comme la Douane, c'est-à-dire, entre petits arrangements et pots-de-vin. Je me demande même s'il ne veut pas être président pour des histoires de voyages et de bruits de sirènes.
Quant à MAMADOU, il incarne à lui seul le système de corruption et de détournement des fonds publics. Budget de guerre ne fait pas de clin d’œil quand il s'agit de faire main basse sur les deniers publics. S'il devait présider le pays, que nous resterait-il? Par Toyb Ahmed