À l’occasion du Nouvel An musulman, j’adresse à la communauté musulmane et en particulier à mes compatriotes mes vœux d’espérance, de paix e...
À l’occasion du Nouvel An musulman, j’adresse à la communauté musulmane et en particulier à mes compatriotes mes vœux d’espérance, de paix et de solidarité.
L’année précédente a été très difficile pour les pèlerins. Des accidents ont causé beaucoup de morts parmi nos coreligionnaires. Qu’ils reposent en paix.
Le monde traverse actuellement des épreuves pénibles. La paix est extrêmement menacée. L’insécurité gagne du terrain en Syrie, au Yémen, en Afghanistan et, récemment, en Turquie. En ce début d’année 1437, j’ai une pensée particulière pour toutes les victimes de toutes formes de violence et de massacres.
Je joins mes prières aux vôtres pour que, face à ces épreuves et face au sentiment d’impuissance, de démission, de fatalité et de renoncement, tous les peuples puissent se mettre en mouvement, pour préserver la paix et pour construire un monde meilleur, de renouveau et d’espérance.
Le Nouvel An musulman qui correspond à l’émigration du prophète Muhammad, paix sur Lui, de La Mecque vers Médine, le 16 juillet 622, symbolise l’esprit de la fraternité, de la solidarité, du partage et de la fraternité humaine et interpelle le monde sur le devoir de l’accueil et de la compassion en faveur de ceux qui, victimes de menaces, d’insécurité ou de persécutions, sont à la recherche d’un lieu sûr, d’un lieu d’asile. L’Hégire nous rappelle également que les refugiés ont besoin d’un message d’espoir et d’humanité.
Je prie enfin le Bon Dieu d’épargner tous les pays, de tous les extrémismes et du sectarisme, qui menacent aujourd’hui la paix mondiale. Et de préserver les Comores dont l’islam sunnite, de rite chaféite, marqué par le soufisme, a toujours été un facteur d’unité, de paix et de cohésion.
Bonne fête de Nouvel An musulman,
Azali Assoumani, ancien président des Comores
L’année précédente a été très difficile pour les pèlerins. Des accidents ont causé beaucoup de morts parmi nos coreligionnaires. Qu’ils reposent en paix.
Le monde traverse actuellement des épreuves pénibles. La paix est extrêmement menacée. L’insécurité gagne du terrain en Syrie, au Yémen, en Afghanistan et, récemment, en Turquie. En ce début d’année 1437, j’ai une pensée particulière pour toutes les victimes de toutes formes de violence et de massacres.
Je joins mes prières aux vôtres pour que, face à ces épreuves et face au sentiment d’impuissance, de démission, de fatalité et de renoncement, tous les peuples puissent se mettre en mouvement, pour préserver la paix et pour construire un monde meilleur, de renouveau et d’espérance.
Le Nouvel An musulman qui correspond à l’émigration du prophète Muhammad, paix sur Lui, de La Mecque vers Médine, le 16 juillet 622, symbolise l’esprit de la fraternité, de la solidarité, du partage et de la fraternité humaine et interpelle le monde sur le devoir de l’accueil et de la compassion en faveur de ceux qui, victimes de menaces, d’insécurité ou de persécutions, sont à la recherche d’un lieu sûr, d’un lieu d’asile. L’Hégire nous rappelle également que les refugiés ont besoin d’un message d’espoir et d’humanité.
Je prie enfin le Bon Dieu d’épargner tous les pays, de tous les extrémismes et du sectarisme, qui menacent aujourd’hui la paix mondiale. Et de préserver les Comores dont l’islam sunnite, de rite chaféite, marqué par le soufisme, a toujours été un facteur d’unité, de paix et de cohésion.
Bonne fête de Nouvel An musulman,
Azali Assoumani, ancien président des Comores