Si on offrait le palme d’or d’honnêteté personnelle, à mon avis, il reviendrait à Azali Assoumani. Et pourtant, et pourtant !!! Justement, ...
Si on offrait le palme d’or d’honnêteté personnelle, à mon avis, il reviendrait à Azali Assoumani. Et pourtant, et pourtant !!!
Justement, monsieur Azali, quand vous étiez président, de passage à Paris, si ma mémoire est bonne en Janvier 2000, vous avez déclaré dans un quotidien parisien que : « lorsque l’ordre sera établi à Anjouan, je remettrai mon kaki et reprendrai mon fusil et hop ! Retour au camp ».
J’ai un peu caricaturé mais votre idée globale était cela. Le même jour où j’ai fait lecture de cet article, j’ai reçu inopinément un coup de téléphone de l’île de la réunion d’un inconnu français qui me demande des nouvelles d’Anjouan. Au cours de notre conversation, il m’a parlé d’ Azali quand je lui ai dit qu’il est de passage en France que il a dit …. Ce type m’a appris à son tour ceci, je le cite : « Mon œil, qu’il le veille ou pas, ( il, c’est Azali ) il est le président de l’Union des Comores, il est là sous …. ».
Je vous ai rencontré pour la première fois un vendredi d’octobre 2000 à Beit-Salam. L’appellation de l’Union des Comores est connu ce qui n’était pas le cas en Janvier. Ce jour-là, vous m’avez dit que : « la présidence de l’Union des Comores ne sera qu’une coquille vide, tous les pouvoirs et différentes responsabilités, seront dispatchés aux îles de sorte que ces « cadavrés »… seront découragés et que personne ne postulera, à la présidence de l’Union des Comores ».
Comment se fait-il que vous n’êtes pas retourné dans votre camp militaire après la signature de l’accord cadre de Fomboni le 26/ 08/ 2000 ?
Vous vous êtes fait élire à la présidence de Coquille Vide. Pourquoi ?
Vous êtes d’accord que tout ce qui nous arrive aujourd’hui est de votre entière responsabilité ? Vous avez laissé la cadence à Sambi, il n’a fait que vous emprunter les pas.
Par Dhackoine Bachir
Justement, monsieur Azali, quand vous étiez président, de passage à Paris, si ma mémoire est bonne en Janvier 2000, vous avez déclaré dans un quotidien parisien que : « lorsque l’ordre sera établi à Anjouan, je remettrai mon kaki et reprendrai mon fusil et hop ! Retour au camp ».
J’ai un peu caricaturé mais votre idée globale était cela. Le même jour où j’ai fait lecture de cet article, j’ai reçu inopinément un coup de téléphone de l’île de la réunion d’un inconnu français qui me demande des nouvelles d’Anjouan. Au cours de notre conversation, il m’a parlé d’ Azali quand je lui ai dit qu’il est de passage en France que il a dit …. Ce type m’a appris à son tour ceci, je le cite : « Mon œil, qu’il le veille ou pas, ( il, c’est Azali ) il est le président de l’Union des Comores, il est là sous …. ».
Je vous ai rencontré pour la première fois un vendredi d’octobre 2000 à Beit-Salam. L’appellation de l’Union des Comores est connu ce qui n’était pas le cas en Janvier. Ce jour-là, vous m’avez dit que : « la présidence de l’Union des Comores ne sera qu’une coquille vide, tous les pouvoirs et différentes responsabilités, seront dispatchés aux îles de sorte que ces « cadavrés »… seront découragés et que personne ne postulera, à la présidence de l’Union des Comores ».
Comment se fait-il que vous n’êtes pas retourné dans votre camp militaire après la signature de l’accord cadre de Fomboni le 26/ 08/ 2000 ?
Vous vous êtes fait élire à la présidence de Coquille Vide. Pourquoi ?
Vous êtes d’accord que tout ce qui nous arrive aujourd’hui est de votre entière responsabilité ? Vous avez laissé la cadence à Sambi, il n’a fait que vous emprunter les pas.
Par Dhackoine Bachir