Trois personnes ont trouvé la mort lors d’une fusillade à Marseille dans la nuit de samedi 24 à dimanche 25 octobre. Deux d’entre elles étai...
Trois personnes ont trouvé la mort lors d’une fusillade à Marseille dans la nuit de samedi 24 à dimanche 25 octobre. Deux d’entre elles étaient âgées de 15 ans, l’autre de 24 ans.
Parmi les deux mineurs assassinés, on recense un mahorais, originaire de Barakani. Natif de Marseille, il avait 15 ans.
La fusillade a eu lieu dimanche 2 heures du matin dans la cité des Lauriers, un quartier sensible du 13e arrondissement de Marseille. Les victimes se trouvaient dans la cage d’escaliers d’un immeuble quand plusieurs individus à bord de deux véhicules leur ont tiré dessus avec une arme automatique.
Une vingtaine de cartouches de 9 mm, d’une arme automatique mais pas d’une kalachnikov, ont été retrouvées sur place. Peu après le drame, deux véhicules brûlés ont été retrouvés à Gardanne, à une vingtaine de kilomètres au nord de Marseille. La police judiciaire a fait le lien avec la fusillade.
Dans un communiqué, le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, a précisé que l’hypothèse de meurtres liés au trafic de stupéfiants était privilégiée. Le premier ministre, Manuel Valls, a quant à lui réagi en affirmant que rien n’arrêtera la détermination de l’Etat à lutter contre le crime organisé.
Par Mayot' News
Parmi les deux mineurs assassinés, on recense un mahorais, originaire de Barakani. Natif de Marseille, il avait 15 ans.
La fusillade a eu lieu dimanche 2 heures du matin dans la cité des Lauriers, un quartier sensible du 13e arrondissement de Marseille. Les victimes se trouvaient dans la cage d’escaliers d’un immeuble quand plusieurs individus à bord de deux véhicules leur ont tiré dessus avec une arme automatique.
Une vingtaine de cartouches de 9 mm, d’une arme automatique mais pas d’une kalachnikov, ont été retrouvées sur place. Peu après le drame, deux véhicules brûlés ont été retrouvés à Gardanne, à une vingtaine de kilomètres au nord de Marseille. La police judiciaire a fait le lien avec la fusillade.
Dans un communiqué, le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, a précisé que l’hypothèse de meurtres liés au trafic de stupéfiants était privilégiée. Le premier ministre, Manuel Valls, a quant à lui réagi en affirmant que rien n’arrêtera la détermination de l’Etat à lutter contre le crime organisé.
Par Mayot' News