Au moment où nous entrons dans le processus électoral, les défections et exclusions sont en passe de devenir monnaie courante dans presque t...
Au moment où nous entrons dans le processus électoral, les défections et exclusions sont en passe de devenir monnaie courante dans presque tous les principaux partis politiques. Les négociations, les accords et autres alliances de toute circonstance entre les partis politiques se tissent plutôt que se lancer dans le combat.
Aucun parti politique n’est en mesure de se présenter seul dans ces élections. En effet, chacun des Partis politique à son action concertée visant à faire valoir ses centres d’intérêt, ses avantages et ses gains mais presque tous se remettent en cause et leur philosophie de vie est incertaine. Le mal se généralise, en particulier, à l'approche des élections présidentielles et des gouverneurs des iles, les partis politiques de l’opposition comme ceux du pouvoir sont en train de se dépeupler.
Les alliances qui se tissent dans l’opposition sont de nature contestataires pour la plupart et celles de la mouvance sont opportunistes. La nécessité de l’alliance c’est pour s’imposer car même ceux qui ont le pouvoir ne sont plus sur de le garder. L’UPDC le parti au pouvoir manœuvre pour se rallier avec le RADHI qui est en difficulté, pour faire face à une opposition qui ne néglige rien. Même situation pour la CRC qui est entrain de négocié avec l’UNDC de feu président Mohamed Taki malgré sa division. Quant à Juwa de l’ancien président Sambi, resserre sa ceinture avec les cinq partis qui composent le RP.
Au finish, les électeurs assistent à la transhumance, oui avec le sentiment d'être une fois de plus trahis par leurs leaders. Par Nakidine Hassane
Aucun parti politique n’est en mesure de se présenter seul dans ces élections. En effet, chacun des Partis politique à son action concertée visant à faire valoir ses centres d’intérêt, ses avantages et ses gains mais presque tous se remettent en cause et leur philosophie de vie est incertaine. Le mal se généralise, en particulier, à l'approche des élections présidentielles et des gouverneurs des iles, les partis politiques de l’opposition comme ceux du pouvoir sont en train de se dépeupler.
Le malaise est réel, bien qu'il n'ait pas les mêmes contours, ni les mêmes causes. Dans certain camp, c’est le manque de discipline et de concertation entre membres qui provoquent la désunion ; dans d’autre, ce sont des plaintes relatives à l’hégémonie des uns, transcrites dans les discours de certains leaders. Tandis que certains acteurs politiques divorcent avec fracas de leurs partis pour annoncer de nouvelles alliances.
Les alliances qui se tissent dans l’opposition sont de nature contestataires pour la plupart et celles de la mouvance sont opportunistes. La nécessité de l’alliance c’est pour s’imposer car même ceux qui ont le pouvoir ne sont plus sur de le garder. L’UPDC le parti au pouvoir manœuvre pour se rallier avec le RADHI qui est en difficulté, pour faire face à une opposition qui ne néglige rien. Même situation pour la CRC qui est entrain de négocié avec l’UNDC de feu président Mohamed Taki malgré sa division. Quant à Juwa de l’ancien président Sambi, resserre sa ceinture avec les cinq partis qui composent le RP.
De son coté, le RDC du Gouverneur Mouigni Baraka ne fait pas cavalier seul puisqu’il s’est déjà rallié avec le RDR et maintenant avec le Gouverneur de l’ile de Mohéli. Le parti Duja de Mzé Soulé Elback a choisi comme cavalier l’APSI d’Abdoulwahab. Des partis comme, le FD, le FNJ, l’Orange, ou encore l’UDZIMA, le CRAN de Hassani Hamadi et le CHUMA n’ont pas encore annoncé une alliance.
Au finish, les électeurs assistent à la transhumance, oui avec le sentiment d'être une fois de plus trahis par leurs leaders. Par Nakidine Hassane