SOYONS CAPABLE D'ACCEPTER NOS TORTS ET ETRE DES HUMAINS Nous avons la sale réputation de passer pour les plus grands ingrats du monde. ...
SOYONS CAPABLE D'ACCEPTER NOS TORTS ET ETRE DES HUMAINS
Nous avons la sale réputation de passer pour les plus grands ingrats du monde. Nous avons méconnu sciemment la grande vision du père spirituel de Bimbini: feu ABDALLAH MCHINDRA, paix à son âme!
De SAID MOHAMED CHEICK, en passant par AHMED ABDALLAH jusqu'à Monsieur ALI MROUDJAE, tous ont respecté, craint et reconnu l'immense personnalité.
L'homme était un grand rassembleur, un social hors du commun avec des qualités humaines irréprochables.
Notre ignorance dosée d'une haine viscérale nous rend tous incapables de discernement, de l'homme de la rue, en passant par le soi-disant intellectuel jusqu'aux jeunes entretenus dans les rumeurs et les mensonges.
Pourquoi nos vieux restent de marbre face à la déformation de l'histoire, des grandes œuvres d'ABDALLAH MCHINDRA?
Pourquoi les speudo intellectuels et de surcroît proches de l'illustre défunt ont fait le triste choix du silence face à cette machine de l'ingratitude, de la haine brute, et de rumeurs?
Ce que cet homme a fait pour Bimbini, pour Chissioini, pour Anjouan, aucun homme ne l'aurait fait!
Et en reconnaissance du service rendu, l'on a assassiné froidement son fils, son dauphin, l'homme sans qui, Bimbini serait un repère de pauvres pêcheurs, de brigands et d'associateurs.
Oui, SAID ALI MOHAMED avait su faire de SALIM ABDALLAH, le maître de tous, l’Éducateur en puissance.
Le mal est fait! mais le crime restera impuni tant que les coupables ne reconnaîtrons pas le crime des organisateurs, aux complices jusqu'aux exécutants.
A ces douteuses personnes qui ont du mal à lire mes vérités et qui se donnent les fausses excuses d'une histoire triste passée, je réponds qu'un martyre ne s'oublie pas car il ne meurt jamais et ne pas en parler, c'est trahir sa conscience. Ceux qui sont dans cet état se reprochent certainement de quelque chose.
En attendant le réveil et la conscience, je dédie le centre de formation OPAS à la mémoire de SALIM ABDALLAH: "Centre de Formation Salim Abdallah".
Malheureusement, la situation de Bimbini devient un raccourci de la situation des Comores!
BEN ALI
Nous avons la sale réputation de passer pour les plus grands ingrats du monde. Nous avons méconnu sciemment la grande vision du père spirituel de Bimbini: feu ABDALLAH MCHINDRA, paix à son âme!
De SAID MOHAMED CHEICK, en passant par AHMED ABDALLAH jusqu'à Monsieur ALI MROUDJAE, tous ont respecté, craint et reconnu l'immense personnalité.
L'homme était un grand rassembleur, un social hors du commun avec des qualités humaines irréprochables.
Notre ignorance dosée d'une haine viscérale nous rend tous incapables de discernement, de l'homme de la rue, en passant par le soi-disant intellectuel jusqu'aux jeunes entretenus dans les rumeurs et les mensonges.
Pourquoi nos vieux restent de marbre face à la déformation de l'histoire, des grandes œuvres d'ABDALLAH MCHINDRA?
Pourquoi les speudo intellectuels et de surcroît proches de l'illustre défunt ont fait le triste choix du silence face à cette machine de l'ingratitude, de la haine brute, et de rumeurs?
Ce que cet homme a fait pour Bimbini, pour Chissioini, pour Anjouan, aucun homme ne l'aurait fait!
Et en reconnaissance du service rendu, l'on a assassiné froidement son fils, son dauphin, l'homme sans qui, Bimbini serait un repère de pauvres pêcheurs, de brigands et d'associateurs.
Oui, SAID ALI MOHAMED avait su faire de SALIM ABDALLAH, le maître de tous, l’Éducateur en puissance.
Le mal est fait! mais le crime restera impuni tant que les coupables ne reconnaîtrons pas le crime des organisateurs, aux complices jusqu'aux exécutants.
A ces douteuses personnes qui ont du mal à lire mes vérités et qui se donnent les fausses excuses d'une histoire triste passée, je réponds qu'un martyre ne s'oublie pas car il ne meurt jamais et ne pas en parler, c'est trahir sa conscience. Ceux qui sont dans cet état se reprochent certainement de quelque chose.
En attendant le réveil et la conscience, je dédie le centre de formation OPAS à la mémoire de SALIM ABDALLAH: "Centre de Formation Salim Abdallah".
Malheureusement, la situation de Bimbini devient un raccourci de la situation des Comores!
BEN ALI