Cela fait 35 ans que notre pays a décidé de se dépendre de lui-même, après avoir renoncé de vivre sous les ordres de la France. Mais la ques...
Cela fait 35 ans que notre pays a décidé de se dépendre de lui-même, après avoir renoncé de vivre sous les ordres de la France. Mais la question que se pose est celle-ci : Qu’est-il devenu notre pays après son indépendance ?
Il est fort probable que notre pays a été présidé par beaucoup des présidents, mais le changement est loin d’apparaitre. A chaque mandat présidentiel, le pays s’enfonce à nouveau, dans la crise économique. Aujourd’hui, le peuple comorien, a du mal à trouver de quoi à boire et se nourrir.
Les problèmes se multiplient de jour en jour et d’une année à l’autre. L’éducation est loin d’être assurée. Ces genres des crises, peuvent adopter d’autres comportement au pays notamment, la délinquance, la prostitution, le vol et j’en passe. On ne voit aucun président qui essaye de faire un effort pour faire sortir les Comores dans la misère. Tout cela est du par ce qu’ils ont l’habitude de lécher les bottes des pays étrangers. Je pense pour que notre pays ait une économie forte et ne pas dépendre seulement aux aides des pays étrangers, il faut de prime à bord, penser à instaurer des systèmes qui peuvent développer notre économie. L’économie d’un pays doit être une économie d’importation et d’exportation.
Malheureusement, notre pays vit uniquement dans l’importation. Ce qui fait que presque,tous les produits sont tous chère aux Comores. Avec les élections présidentielle de 2016, je demande aux comoriens de bien faire leur choix. Il ne faut pas se laisser aller par les discours. Certains de nos candidats ont la bouche du miel. El celà peut conduire certains comoriens à tomber dans leur piège. Quand je regarde les candidats qui souhaitent se présenter aux élections présidentiels du 2016, je me demande où va notre pays ?
Ce qui me fait le plus du mal, c’est que ces candidats osent se donner une virginité. Ils engagent des discours en nous disant qu’ils peuvent changer le pays quand on leur donne confiance. Regardons et méditons un peu. Le gouvernement de Dr Ikililou Dhoinine n’est-il pas composé par les membres des gouvernements précédents ? Notre pays souffre d’une crise économique. Et c’est la raison pour laquelle après une longue réflexion et d’observation, je me dis que le seul, parmi les candidats de 2016, qui peut instaurer des modèles de système économique aux Comores et faire arrêter l’hémorragie des humiliations que notre pays subisse face aux pays étrangers, est le Général Salim Mohamed Amir. Pourquoi ? Parce qu’il est le seul qui donne valeur à nos produits.
Dans une interview, le général Salim expliquait que : « les Comores est un pays ayant une terre fertile. Les agriculteurs doivent être encouragés. La pêche est un grand facteur de l’économie. Malheureusement, notre pays fait parti des pays qui possède beaucoup de poissons mais qui humilie beaucoup le pêcheur. L’Etat n’encourage pas le pêcheur. L’agriculture est juste une agriculture vivrière. Nous dévons montrer aux agriculteurs qu’ils ont la clef de l’économie comorienne et leur fournir les matériaux qu’il faut. Vaut mieux enseigner à quelqu’un comment pêcher un poisson que de lui fournir des poissons tous les jours. »
En analysant ces phrases je trouve que le général veut un pays entouré financièrement et qui fait en sorte e s’en prendre en charge au lieu d’être un pays qui mendie tout à la main des pays étrangers. Certes notre pays n’a pas les moyens pour se dépendre de lui-même, mais il doit quand même se dépendre d’une partie. Et le général Salim est le seul qui souhaite mettre ces idées en place. Et j’ai confiance en lui.
Le fait que l’armée comorienne voulait pratiquer l’agriculture pour le pays, sous les ordres du général Salim Mohamed Amir, me prouve que le général n’est pas d’accord sur le fait que les Comores importent tous les produits. Nous avons aussi des produits à exporter. Et c’est produit là, on les laisse pourrir dans notre territoire. Ensemble tous, nous pouvons changer notre pays en donnant confiance au général Salim Mohamed Amir. Il est le seul candidat pour moi qui a compris Woumizi Haramou. Ne yentsi yahatru yirendeha mizi.
Ali Hassani Ali, étudiant en sociologie à l’université Paris 8
Il est fort probable que notre pays a été présidé par beaucoup des présidents, mais le changement est loin d’apparaitre. A chaque mandat présidentiel, le pays s’enfonce à nouveau, dans la crise économique. Aujourd’hui, le peuple comorien, a du mal à trouver de quoi à boire et se nourrir.
Les problèmes se multiplient de jour en jour et d’une année à l’autre. L’éducation est loin d’être assurée. Ces genres des crises, peuvent adopter d’autres comportement au pays notamment, la délinquance, la prostitution, le vol et j’en passe. On ne voit aucun président qui essaye de faire un effort pour faire sortir les Comores dans la misère. Tout cela est du par ce qu’ils ont l’habitude de lécher les bottes des pays étrangers. Je pense pour que notre pays ait une économie forte et ne pas dépendre seulement aux aides des pays étrangers, il faut de prime à bord, penser à instaurer des systèmes qui peuvent développer notre économie. L’économie d’un pays doit être une économie d’importation et d’exportation.
Malheureusement, notre pays vit uniquement dans l’importation. Ce qui fait que presque,tous les produits sont tous chère aux Comores. Avec les élections présidentielle de 2016, je demande aux comoriens de bien faire leur choix. Il ne faut pas se laisser aller par les discours. Certains de nos candidats ont la bouche du miel. El celà peut conduire certains comoriens à tomber dans leur piège. Quand je regarde les candidats qui souhaitent se présenter aux élections présidentiels du 2016, je me demande où va notre pays ?
Ce qui me fait le plus du mal, c’est que ces candidats osent se donner une virginité. Ils engagent des discours en nous disant qu’ils peuvent changer le pays quand on leur donne confiance. Regardons et méditons un peu. Le gouvernement de Dr Ikililou Dhoinine n’est-il pas composé par les membres des gouvernements précédents ? Notre pays souffre d’une crise économique. Et c’est la raison pour laquelle après une longue réflexion et d’observation, je me dis que le seul, parmi les candidats de 2016, qui peut instaurer des modèles de système économique aux Comores et faire arrêter l’hémorragie des humiliations que notre pays subisse face aux pays étrangers, est le Général Salim Mohamed Amir. Pourquoi ? Parce qu’il est le seul qui donne valeur à nos produits.
Dans une interview, le général Salim expliquait que : « les Comores est un pays ayant une terre fertile. Les agriculteurs doivent être encouragés. La pêche est un grand facteur de l’économie. Malheureusement, notre pays fait parti des pays qui possède beaucoup de poissons mais qui humilie beaucoup le pêcheur. L’Etat n’encourage pas le pêcheur. L’agriculture est juste une agriculture vivrière. Nous dévons montrer aux agriculteurs qu’ils ont la clef de l’économie comorienne et leur fournir les matériaux qu’il faut. Vaut mieux enseigner à quelqu’un comment pêcher un poisson que de lui fournir des poissons tous les jours. »
En analysant ces phrases je trouve que le général veut un pays entouré financièrement et qui fait en sorte e s’en prendre en charge au lieu d’être un pays qui mendie tout à la main des pays étrangers. Certes notre pays n’a pas les moyens pour se dépendre de lui-même, mais il doit quand même se dépendre d’une partie. Et le général Salim est le seul qui souhaite mettre ces idées en place. Et j’ai confiance en lui.
Le fait que l’armée comorienne voulait pratiquer l’agriculture pour le pays, sous les ordres du général Salim Mohamed Amir, me prouve que le général n’est pas d’accord sur le fait que les Comores importent tous les produits. Nous avons aussi des produits à exporter. Et c’est produit là, on les laisse pourrir dans notre territoire. Ensemble tous, nous pouvons changer notre pays en donnant confiance au général Salim Mohamed Amir. Il est le seul candidat pour moi qui a compris Woumizi Haramou. Ne yentsi yahatru yirendeha mizi.
Ali Hassani Ali, étudiant en sociologie à l’université Paris 8