La nouvelle situation politique engendrée par la dispersion de la mouvance présidentielle, ne favorise pas du tout la résurrection politique...
La nouvelle situation politique engendrée par la dispersion de la mouvance présidentielle, ne favorise pas du tout la résurrection politique du candidat de l’UPDC qui peine à trouver des vice-présidents. Les leaders de la mouvance auront décliné l’offre d’un poste de vice-président de Mamadou.
L’information a secoué la toile, et pourtant jusque-là, personne n’est indifférent. D’après nos sources, le vice président Mohamed Ali Soilihi aurait proposé à Houmedi Msaidié l’actuel ministre de l’intérieur le poste de vice-président aux prochaines élections. Une offre qui fait juste sourire, mais qui se serait vue refuser par le chef de file du parti RADHI. L’intrigue c’est pourquoi le leader du RADHI a décliné cette offre, si offre il y a eu.
L’information a secoué la toile, et pourtant jusque-là, personne n’est indifférent. D’après nos sources, le vice président Mohamed Ali Soilihi aurait proposé à Houmedi Msaidié l’actuel ministre de l’intérieur le poste de vice-président aux prochaines élections. Une offre qui fait juste sourire, mais qui se serait vue refuser par le chef de file du parti RADHI. L’intrigue c’est pourquoi le leader du RADHI a décliné cette offre, si offre il y a eu.
D’abord tout porte à croire que Msaidié sera lui-même candidat et si ce n’est pas le cas, il roulera avec le carburant de sa maison mère la CRC. En effet, si Msaidié fait preuve d’honnêteté intellectuelle de rendre claire sa position sur la question avant le choix officiel de la candidature de Mamadou, il avait dit qu’ « il ne sera pas vice-président de personne ». Alors le premier espoir de soutien politique à Mamadou pour passer au second tour vient ainsi d’être brisé. Ainsi, tant que le parti RADHI tient compte de sa nouvelle donne politique, en toute objectivité, au lieu d’utiliser le raccourci « tout sauf Sambi », le camp d’Azali est le plus privilégié.
Sur la même ligne, la tourmente du parti au pouvoir s’accroit. Pendant que Msadié décline à ce poste, l’UPDC saurait donc ramener la question de la personne de Mohamed Daoud Alias KIKI de l’Orange et maire de Moroni mais aussi membre influant de la mouvance. Mais cette fois ci, c’est les membres de son parti qui s’opposent. Sans doute, à cause de la mise à plat de la situation du pays que connaît surtout la ville de Moroni. Pour bon nombre d’observateurs, la décision de la candidature de Mamadou constitue la principale pomme de discorde entre l’UPDC et les partis de la mouvance. « Nous allons dans des élections, c’est homme est face à son peuple et s’expose contre tous et souhaite être élu. Vous voulez qu’on s’allie contre qui ? » S’est demande un membre de la mouvance. Pour d’autre « on est dans une mouvance, si l’UPDC voulait une candidature commune, il aurait du nous consulter avant de faire leur choix mais cela montre qu’on ne partage pas un projet commun », précise une autre source sous couvert de l’anonymat.
Par Nakidine Hassane
Photo©habarizacomores
Sur la même ligne, la tourmente du parti au pouvoir s’accroit. Pendant que Msadié décline à ce poste, l’UPDC saurait donc ramener la question de la personne de Mohamed Daoud Alias KIKI de l’Orange et maire de Moroni mais aussi membre influant de la mouvance. Mais cette fois ci, c’est les membres de son parti qui s’opposent. Sans doute, à cause de la mise à plat de la situation du pays que connaît surtout la ville de Moroni. Pour bon nombre d’observateurs, la décision de la candidature de Mamadou constitue la principale pomme de discorde entre l’UPDC et les partis de la mouvance. « Nous allons dans des élections, c’est homme est face à son peuple et s’expose contre tous et souhaite être élu. Vous voulez qu’on s’allie contre qui ? » S’est demande un membre de la mouvance. Pour d’autre « on est dans une mouvance, si l’UPDC voulait une candidature commune, il aurait du nous consulter avant de faire leur choix mais cela montre qu’on ne partage pas un projet commun », précise une autre source sous couvert de l’anonymat.
Par Nakidine Hassane
Photo©habarizacomores