C'était dimanche, lorsque Mr Issimaila, originaire de Domoni ya Mbadjini a été victime d'une mauvaise foi humaine et d'un gra...
C'était dimanche, lorsque Mr Issimaila, originaire de Domoni ya Mbadjini a été victime d'une mauvaise foi humaine et d'un grave mensonge. Se trouvant dans les galetas de Moroni, comme de nombreux jeunes désœuvrés, venant des différentes zones de l'archipel, avec ses compères, Mr Issimaili, prend quotidiennement sa substance.
Et ce dimanche 19 juillet 2016, après avoir pris sa dose d'alcool, comme à l'accoutumée, le ciel lui tombait sur la tête. Tombé dans les mains de la racaille, et surtout des hommes de mauvaise foi, cet homme d'à peine 50 ans a été rendu en cacahouète avec des coups très violents qui l'ont même défiguré.
Et ce dimanche 19 juillet 2016, après avoir pris sa dose d'alcool, comme à l'accoutumée, le ciel lui tombait sur la tête. Tombé dans les mains de la racaille, et surtout des hommes de mauvaise foi, cet homme d'à peine 50 ans a été rendu en cacahouète avec des coups très violents qui l'ont même défiguré.
Après avoir pris sa dose, Issimaila, s'est mis à parler avec une petite fille du quartier, âgée de trois ans. Normalement, ils devraient se connaitre, donc l'homme devrait être proche de la famille de la petite. Tout de suite, un homme qui sans doute ne supporte pas Issimaila, aurait commencé à l'insulter et le taper. Mais dans un état d'ivresse, ce dernier ne pouvait pas se défendre. Les passants voulaient intervenir, mais l'huile est mis dans le feu.
L'homme continuerait ses médisances contre Issilaila et aurait dit : « Ce soulard a violé cette fille ». Tout de suite il devient un bout de viande dans un enclos de Lion. Un jeu de passe à dix. Issimaila devient un petit ballon de tennis. Mais toujours affaibli par l'alcool, il n'arrivait pas à se défendre ni à s'exprimer pour nier le fait. Lunché et rendu en reste avec un front sur lequel des fleuves de sang… Issimaila, est transporté à l'hôpital.
Toutefois, n'étant pas au courant de cette situation, la famille de la fille supposée violée, serait prise au dépourvu et qualifierait ce fait de mensonger. Depuis la gendarmerie, l'Unicef, la famille… aucune conformité du fait. Et là des enquêtes se poursuivent. Sinon, quelques jeunes de Domoni - Mbadjini qui nous avons rencontrés à Moroni, se mobilisent pour mettre de la lumière dans cette affaire. Issimaila, se trouverait actuellement chez lui après être soigné à l'hôpital. Et la famille de la fille supposée violée, aurait nié tout fait lié à un viol de leur fille.
Mais le plus inquiétant, sont les soi-disant informateurs qui tuent les informations par des propagandes nuisibles, non vérifiées ni fondées. Dans les réseaux sociaux, de mensonges, sans contrôle du fait décrédibilisent la communication. Une propagande qui vise à déshonorer une ville toute entière et ternir l'image d'une personne sans oublier le châtiment qu'il a subi. Comme nous avons le devoir d'informer, nos lecteurs ont le droit au respect et à la vérité.
Enfin, la démission de l'Etat dans la vie des citoyens comoriens, le manque de contrôle formel, la corruption, les détournements des deniers publics… favorisent la pauvreté qui engendre la délinquance. Cette justice de soi-même, cette injustice émerge avec le manque de justice. La gendarmerie nationale, la ville de Domoni-Mbadjini doivent prendre l'affaire en main pour punir ceux qui ont tabassé Issamel sans pêché ni raison.
Charifa Said Koum, Maluzini-Ikoni
COMORESplus
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