BOLERO PREPARE DES TROUBLES A L'OCCASION DE LA FETE DU 6 JUILLET 2015 ET TENTE D'EN FAIRE PORTER LA RESPONSABILITE A SAMBI! BRAVO A...
BOLERO PREPARE DES TROUBLES A L'OCCASION DE LA FETE DU 6 JUILLET 2015 ET TENTE D'EN FAIRE PORTER LA RESPONSABILITE A SAMBI! BRAVO A L’ÉTUDIANT FORME AUX MÉTHODES DU QGB...
Selon des sources bien informées, BOLERO, le chargé de la défense aurait soustrait la carte d'invitation à la cérémonie de la commémoration de l'indépendance du 6 juillet 2015. De sources concordantes indiquent que cela relève d'un plan machiavélique concocté par Msaidié et Boléro.
Selon les mêmes sources, une centaine de jeunes seraient enrôlés par le régime en place moyennant le versement d'une certaine somme alors que les agents de l’État totalisent à ce jour 4 mois d'arriérés pour insulter le président A.A.M Mohamed Sambi et provoquer des heurts avec les sympathisants de celui-ci nombreux dans le pays et qui l'acclament à chaque sortie. Le but de la manœuvre est piéger l'ancien RAIS de cette façon et de mettre sur lui des charges judiciaires pouvant compromettre sa candidature à la présidentielle de 2016. Cette technique a été mise en œuvre le 2 juillet dernier à Anjouan. Des ex-fga de Mohamed Bacar de Mirontsy ont été chargés de provoquer des heurts au passage de Sambi dans cette ville.
Des soldats lourdement armés ont été positionnés à différents endroits de l'île pour parer aux troubles consécutifs à l'arrestation du leader charismatique de l'opposition. Le plan de Msaidié et de Boléro à Anjouan a échoué; les gens de Mirontsy n'acceptent plus qu'on les manipule depuis un moment... Boléro et Msaidié doivent savoir qu'en démocratie, les gens sont libres d'acclamer ou d'applaudir un dirigeant. Qu'A.A.M.SAMBI n'humilie personne et que chacun récolte ce qu'il a semé.
Ils ont amené Ikililou à rompre avec la continuité tant souhaitée par la majorité des comoriens. Ikiliou en fait les frais, en fera les frais! Les comoriens souhaitent la continuité de la politique à laquelle ils ont crû. C'est pour cela qu'ils se retournent vers A.A.M.SAMBI et empêcher cette candidature au prix des coups bas de ce genre est une gageure... Si troubles, il y a aux Comores, ce sera une inconséquence de l'entêtement de Boléro, Msaidié et Azaly à vouloir se maintenir au pouvoir contre le gré du peuple, diriger un peuple contre lui...En réalité, le vrai problème à gérer c'est l'impopularité dans laquelle Boléro a conduit Ikililou avec sa politique antidémocratique et antirépublicaine.
Lors de deux tours des législatives, Boléro a secrètement rencontré l'exécutif anjouanais composé et dirigé par des hommes eux non plus sans culture républicaine ni démocratique à Anjouan dans une île en face de Bimbini. Les informations qui ont fusé font état d'une réflexion portant sur les voies et moyens de contenir le phénomène A.A.M.SAMBI et de conserver le pouvoir aussi bien au niveau de l'Union que des îles. Selon un témoin présent à cette réunion, Boléro aurait trouvé léger et insuffisant le plan proposé par le clan Anisse principalement centré sur une mainmise sur les résultats des législatifs.
Boléro, le machiavélique et l'expert, aurait carrément plaidé pour un plan beaucoup plus radical qui consiste à donner un coup d'arrêt aux institutions. Il aurait ainsi expliqué à ses interlocuteurs que sans cela, personne ne peut empêcher le retour d' A.A.M.SAMBI au pouvoir par les urnes démocratiques. Il est donc évident que la stratégie du pouvoir n'est pas tant de veiller à l'ordre, et d'agir par anticipation. Dans un état de droit, rien ne vaut le respect de la norme du droit. Même dans les pays confrontés aux problèmes du terrorisme, danger réel pour les populations et l'économie. Jamais un exécutif ne se permet un écart par rapport à la loi sous prétexte de lutte et de prévention du phénomène.
La candidature d'A.A.M.Sambi tant souhaitée par le peuple vu la trahison dont les comoriens sont victimes de la part d'Ikililou ne constitue pas un danger pour les Comores. La paix et la stabilité peuvent en revanche être remises en cause par cette volonté manifeste de Msaidié et de Boléro de ne pas respecter les règles établies garanties par le fonctionnement régulier des institutions de la république dont le laborantin de Baït Salam œuvre pour l'arrêt.
Je demande à tous ceux qui se reconnaissent dans les valeurs de la république, de la démocratie, de paix, de progrès social et économique de prendre leurs responsabilités et de se positionner clairement dans le débat actuel. J'en appelle aussi à la responsabilité du président de la république qui doit dans cette phase critique de l'histoire de notre pays retrouver le brin de lucidité nécessaire. Qu'il sache que dans le désordre en perspective dans lequel le pays risque de plonger, sa responsabilité est totalement et entièrement engagée.
C'est sa faute directe d'avoir remis dans le jeu politique des hommes qui n'ont ni culture républicaine ni démocratique ni légitimité populaire, des opportunistes politiques chassés par les urnes. Que monsieur Ikililou sache que le dernier mot reviendra au peuple et que dans cette bataille contre celui-ci, où il s'est laissé entraîner, il a déjà perdu.
BOUHANE AHMED
Selon des sources bien informées, BOLERO, le chargé de la défense aurait soustrait la carte d'invitation à la cérémonie de la commémoration de l'indépendance du 6 juillet 2015. De sources concordantes indiquent que cela relève d'un plan machiavélique concocté par Msaidié et Boléro.
Selon les mêmes sources, une centaine de jeunes seraient enrôlés par le régime en place moyennant le versement d'une certaine somme alors que les agents de l’État totalisent à ce jour 4 mois d'arriérés pour insulter le président A.A.M Mohamed Sambi et provoquer des heurts avec les sympathisants de celui-ci nombreux dans le pays et qui l'acclament à chaque sortie. Le but de la manœuvre est piéger l'ancien RAIS de cette façon et de mettre sur lui des charges judiciaires pouvant compromettre sa candidature à la présidentielle de 2016. Cette technique a été mise en œuvre le 2 juillet dernier à Anjouan. Des ex-fga de Mohamed Bacar de Mirontsy ont été chargés de provoquer des heurts au passage de Sambi dans cette ville.
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| Sambi lors de la cérémonie du 6 juillet 2014. ©habarizacomores |
Des soldats lourdement armés ont été positionnés à différents endroits de l'île pour parer aux troubles consécutifs à l'arrestation du leader charismatique de l'opposition. Le plan de Msaidié et de Boléro à Anjouan a échoué; les gens de Mirontsy n'acceptent plus qu'on les manipule depuis un moment... Boléro et Msaidié doivent savoir qu'en démocratie, les gens sont libres d'acclamer ou d'applaudir un dirigeant. Qu'A.A.M.SAMBI n'humilie personne et que chacun récolte ce qu'il a semé.
Ils ont amené Ikililou à rompre avec la continuité tant souhaitée par la majorité des comoriens. Ikiliou en fait les frais, en fera les frais! Les comoriens souhaitent la continuité de la politique à laquelle ils ont crû. C'est pour cela qu'ils se retournent vers A.A.M.SAMBI et empêcher cette candidature au prix des coups bas de ce genre est une gageure... Si troubles, il y a aux Comores, ce sera une inconséquence de l'entêtement de Boléro, Msaidié et Azaly à vouloir se maintenir au pouvoir contre le gré du peuple, diriger un peuple contre lui...En réalité, le vrai problème à gérer c'est l'impopularité dans laquelle Boléro a conduit Ikililou avec sa politique antidémocratique et antirépublicaine.
Lors de deux tours des législatives, Boléro a secrètement rencontré l'exécutif anjouanais composé et dirigé par des hommes eux non plus sans culture républicaine ni démocratique à Anjouan dans une île en face de Bimbini. Les informations qui ont fusé font état d'une réflexion portant sur les voies et moyens de contenir le phénomène A.A.M.SAMBI et de conserver le pouvoir aussi bien au niveau de l'Union que des îles. Selon un témoin présent à cette réunion, Boléro aurait trouvé léger et insuffisant le plan proposé par le clan Anisse principalement centré sur une mainmise sur les résultats des législatifs.
Boléro, le machiavélique et l'expert, aurait carrément plaidé pour un plan beaucoup plus radical qui consiste à donner un coup d'arrêt aux institutions. Il aurait ainsi expliqué à ses interlocuteurs que sans cela, personne ne peut empêcher le retour d' A.A.M.SAMBI au pouvoir par les urnes démocratiques. Il est donc évident que la stratégie du pouvoir n'est pas tant de veiller à l'ordre, et d'agir par anticipation. Dans un état de droit, rien ne vaut le respect de la norme du droit. Même dans les pays confrontés aux problèmes du terrorisme, danger réel pour les populations et l'économie. Jamais un exécutif ne se permet un écart par rapport à la loi sous prétexte de lutte et de prévention du phénomène.
La candidature d'A.A.M.Sambi tant souhaitée par le peuple vu la trahison dont les comoriens sont victimes de la part d'Ikililou ne constitue pas un danger pour les Comores. La paix et la stabilité peuvent en revanche être remises en cause par cette volonté manifeste de Msaidié et de Boléro de ne pas respecter les règles établies garanties par le fonctionnement régulier des institutions de la république dont le laborantin de Baït Salam œuvre pour l'arrêt.
Je demande à tous ceux qui se reconnaissent dans les valeurs de la république, de la démocratie, de paix, de progrès social et économique de prendre leurs responsabilités et de se positionner clairement dans le débat actuel. J'en appelle aussi à la responsabilité du président de la république qui doit dans cette phase critique de l'histoire de notre pays retrouver le brin de lucidité nécessaire. Qu'il sache que dans le désordre en perspective dans lequel le pays risque de plonger, sa responsabilité est totalement et entièrement engagée.
C'est sa faute directe d'avoir remis dans le jeu politique des hommes qui n'ont ni culture républicaine ni démocratique ni légitimité populaire, des opportunistes politiques chassés par les urnes. Que monsieur Ikililou sache que le dernier mot reviendra au peuple et que dans cette bataille contre celui-ci, où il s'est laissé entraîner, il a déjà perdu.
BOUHANE AHMED
