La crise énergique structurelle qui paralyse la pays tire son origine de plusieurs facteurs qui sont connus de tous. J'en citerai qu...
La crise énergique structurelle qui paralyse la pays tire son origine de plusieurs facteurs qui sont connus de tous.
J'en citerai quatre principalement:
Le coût du carburant
L'Etat comorien qui construit principalement ses finances sur la taxe de consommation et la Taxe unique sur les hydrocarbures et le riz n'a jamais accepté pour des raisons budgétaires, de diminuer le coût du gazole vendu à la MaMwe par un allègement de la structure du prix.
Des mesuras conjoncturelles sont souvent arrêtées par les Autorités sans trop de conviction.
Il est temps que le pays oriente sa politique sur cet aspect pour accompagner les nouveaux équipements.
Le stock des impayés
Les débiteurs de la MaMwe dont les plus défaillants sont l'Etat et ses démembrements restent récalcitrants et ne veulent jamais payer leurs factures, prétextant la pénurie pour honorer leurs engagements financiers à l'égard de la société nationale.
Il faut se le dire, tout comme les entreprises privées, le Ministère des fiances ne règle pas ses factures à temps; Il compense par par un jeu d'écriture, par subventions, quand la situation devient insoutenable. Il faudrait peut être commencer à faire intervenir des huissiers dans la récupération des sommes dues et dans les coupures. Cette attitude se manifeste aussi dan les retards constatés pour le règlement des factures d'eau découlant des bornes fontaines de la Capitale et ses environs.
La fraude
La fraude orchestrée et entretenue le plus souvent par les agent de la MaMwe en agonie prolongée est un fléau qu'il faut combattre avec tous les moyens que l'Etat aura à mettre à disposition. Certains villages connus et des quartiers entiers de la Capitale et des grandes villes érigent des murailles de fer pour empêcher les contrôleurs et les releveurs de faire leur boulot, créant des heurts et des conflits inutiles avec les forces de l’ordre venues prêter mains forte.
Cet état de fait doit cesser si on veut soutenir une politique de production énergétique maintenant qu'on parle de nouveaux équipements. Les ministères concernés et particulièrement celui de la justice doivent user de leur pouvoir de coercition pour dissuader la fraude et faire traduire en justice les acteurs de vol et de détournement d'énergie publique. L’argent qui a servi à acquérir ces groupes électrogènes est obtenu à partir d'un prêt et il ne saurait être tolérable que certains s'en accaparent sans verser le moindre centime.
La mauvaise gestion
La pente vers la décente aux enfers empruntée par notre société nationale n'est pas de nature à créer de l'espoir chez les comoriens et il faut renverser la tendance. Les recrutements fantaisistes pré-électoralistes et népotistes, les détournements et le vol doivent cesser pour plus de productivité. Il faudrait savoir un jour faire intervenir la justice pour juger les cas de vols avérés pour griller la gangrène.
Demain il faudra rembourser des milliards à nos créanciers de la BAD et d'Eximbank et obtenir un retour sur investissent dans les délais escomptés.
Cet état de fait doit cesser si on veut soutenir une politique de production énergétique maintenant qu'on parle de nouveaux équipements. Les ministères concernés et particulièrement celui de la justice doivent user de leur pouvoir de coercition pour dissuader la fraude et faire traduire en justice les acteurs de vol et de détournement d'énergie publique. L’argent qui a servi à acquérir ces groupes électrogènes est obtenu à partir d'un prêt et il ne saurait être tolérable que certains s'en accaparent sans verser le moindre centime.
La mauvaise gestion
La pente vers la décente aux enfers empruntée par notre société nationale n'est pas de nature à créer de l'espoir chez les comoriens et il faut renverser la tendance. Les recrutements fantaisistes pré-électoralistes et népotistes, les détournements et le vol doivent cesser pour plus de productivité. Il faudrait savoir un jour faire intervenir la justice pour juger les cas de vols avérés pour griller la gangrène.
Demain il faudra rembourser des milliards à nos créanciers de la BAD et d'Eximbank et obtenir un retour sur investissent dans les délais escomptés.