LONGUE EST LA NUIT... J'ai emprunté ce titre d'un livre simple et percutant de l'écrivain Tchichela Tchivela pour qualifier l...
LONGUE EST LA NUIT...
J'ai emprunté ce titre d'un livre simple et percutant de l'écrivain Tchichela Tchivela pour qualifier l'inconscience prolongée du peuple comorien en dépit des conditions souvent réunies pour oser dire NON à des dirigeants incultes, incompétents, corrompus et sans vision dans l'avenir.
La population comorienne est, je le veux bien exploitée, mais il est inadmissible qu'elle ne ressent pas le poids de l'injustice, du vol et de la misère dont elle est victime.
Les moins avisés diront que la population ne peut rien face à la dictature mais je défie quiconque me dira que le peuple est faible que l'Etat. Les exemples sont légions et j'en citerai quelques unes:
1. La victoire d'Antoy ABDOU aux élections des Conseillers de l'île d'Anjouan, malgré la mobilisation entière des moyens financiers et militaires de l'Etat par le populiste Président SAMBI, avec comme mot d'ordre, "tout sauf ANTOY".
2. L'écrasante victoire aux élections présidentielles d'Ahmed Abdallah SAMBI portée par la population comorienne et face à un pouvoir militaire ou presque.
A l'international, les exemples y abondent autant dans les pays arabes que dans les pays africains dont le cas le plus illustratif est celui du Bourkina Fasso de Thomas SANKARA, ancien Haute Volta de LAMIZANA.
Endormie par la drogue de l'ignorance et de l'inconscience de l'ignorance, la population survit sous perfusion constante et ne se nourrit que que du "Subramicine" et du "mkarakaramicine", deux produits qui créent à la longue une résistance chez la personne et le rendant au final, victime de l'Alzheimer.
Nous devons enfin cesser de jouer le fatalisme, de nous regarder dans une miroir et de refuser notre sort. Comment ne pas stopper l'élan dangereux de notre prêcheur Ex Président parachuté Chef de l'Etat par une Fatwa populaire et qui a menti à ce petit peuple.
Comment laisser passer l'incapacité avérée et dangereuse de ce pharmacien qui tue la dignité de notre pays en ridiculisant nos institutions.
Comment ne pas s'opposer à l'enrichissement exponentiel de ce petit professeur d'Histoire originaire de Mjamawé qui s'approprie avec arrogance les biens du contribuable comorien pour construire des villas et subventionner les entreprises de son gouverneur.
Il est temps de dire NON et de démontrer qu'aucun pouvoir n'est au dessus du peuple quelque qu'il soit.
BEN ALI
J'ai emprunté ce titre d'un livre simple et percutant de l'écrivain Tchichela Tchivela pour qualifier l'inconscience prolongée du peuple comorien en dépit des conditions souvent réunies pour oser dire NON à des dirigeants incultes, incompétents, corrompus et sans vision dans l'avenir.
La population comorienne est, je le veux bien exploitée, mais il est inadmissible qu'elle ne ressent pas le poids de l'injustice, du vol et de la misère dont elle est victime.
Les moins avisés diront que la population ne peut rien face à la dictature mais je défie quiconque me dira que le peuple est faible que l'Etat. Les exemples sont légions et j'en citerai quelques unes:
1. La victoire d'Antoy ABDOU aux élections des Conseillers de l'île d'Anjouan, malgré la mobilisation entière des moyens financiers et militaires de l'Etat par le populiste Président SAMBI, avec comme mot d'ordre, "tout sauf ANTOY".
2. L'écrasante victoire aux élections présidentielles d'Ahmed Abdallah SAMBI portée par la population comorienne et face à un pouvoir militaire ou presque.
A l'international, les exemples y abondent autant dans les pays arabes que dans les pays africains dont le cas le plus illustratif est celui du Bourkina Fasso de Thomas SANKARA, ancien Haute Volta de LAMIZANA.
Endormie par la drogue de l'ignorance et de l'inconscience de l'ignorance, la population survit sous perfusion constante et ne se nourrit que que du "Subramicine" et du "mkarakaramicine", deux produits qui créent à la longue une résistance chez la personne et le rendant au final, victime de l'Alzheimer.
Nous devons enfin cesser de jouer le fatalisme, de nous regarder dans une miroir et de refuser notre sort. Comment ne pas stopper l'élan dangereux de notre prêcheur Ex Président parachuté Chef de l'Etat par une Fatwa populaire et qui a menti à ce petit peuple.
Comment laisser passer l'incapacité avérée et dangereuse de ce pharmacien qui tue la dignité de notre pays en ridiculisant nos institutions.
Comment ne pas s'opposer à l'enrichissement exponentiel de ce petit professeur d'Histoire originaire de Mjamawé qui s'approprie avec arrogance les biens du contribuable comorien pour construire des villas et subventionner les entreprises de son gouverneur.
Il est temps de dire NON et de démontrer qu'aucun pouvoir n'est au dessus du peuple quelque qu'il soit.
BEN ALI