Trois jeunes Mahorais sont venus au lycée Agricole de Valentées pour s'informer sur les politiques de formation des jeunes à l'inst...
Trois jeunes Mahorais sont venus au lycée Agricole de Valentées pour s'informer sur les politiques de formation des jeunes à l'installation.
A Mayotte, les projets d'installation agricole sont souvent voués à l'échec. Les jeunes sont orientés vers des études agricoles par défaut. Lorsqu'ils obtiennent un diplôme agricole, souvent ils essaient de le valoriser en quittant le pays ou dans un autre secteur d'activité. Aussi les rares qui s'installent ne sont pas ou peu diplômés. Et quand ils sont diplômés, ils n'ont pas le niveau de formation nécessaire à devenir chef d'entreprise.
L'un des trois Mahorais, Elhad-Dine Harouna, a passé deux ans au lycée de Valentées. Il retrouvait, cette semaine, son ami Yannick Lahille. Il est maintenant président des Jeunes Agriculteurs de l'île. Il souhaite mettre en place une formation qui amène des compétences de chef d'entreprise aux jeunes ayant un projet d'installation, d'où sa visite au lycée agricole de Mirande mais aussi au Centre de formation adultes.
Les Mahorais seraient intéressés par une période de formation en métropole et, pourquoi pas, à Mirande !
A Mayotte, les projets d'installation agricole sont souvent voués à l'échec. Les jeunes sont orientés vers des études agricoles par défaut. Lorsqu'ils obtiennent un diplôme agricole, souvent ils essaient de le valoriser en quittant le pays ou dans un autre secteur d'activité. Aussi les rares qui s'installent ne sont pas ou peu diplômés. Et quand ils sont diplômés, ils n'ont pas le niveau de formation nécessaire à devenir chef d'entreprise.
L'un des trois Mahorais, Elhad-Dine Harouna, a passé deux ans au lycée de Valentées. Il retrouvait, cette semaine, son ami Yannick Lahille. Il est maintenant président des Jeunes Agriculteurs de l'île. Il souhaite mettre en place une formation qui amène des compétences de chef d'entreprise aux jeunes ayant un projet d'installation, d'où sa visite au lycée agricole de Mirande mais aussi au Centre de formation adultes.
Les Mahorais seraient intéressés par une période de formation en métropole et, pourquoi pas, à Mirande !
Pour partager les préoccupations des candidats à l'installation du Gers dans l'approche des dossiers pour ensuite les transposer au contexte particulier de Mayotte.
Ils sont venus prendre de l'information sur les outils de régulation foncière mis en place dans la région, une de leurs difficultés étant l'accès au foncier.
Enfin, sur un plan plus technique, ils ont découvert les intérêts de la race mirandaise dont les qualités de rusticité pourraient permettre une adaptation à l'Océan Indien avec, pourquoi pas, des croisements avec des zébus.
Par la dépêche.fr
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