Les impacts de la grève chez Air Madagascar sont ressentis depuis qu'elle a été lancée il y a plus de deux semaines par les syndicalist...
Les impacts de la grève chez Air Madagascar sont ressentis depuis qu'elle a été lancée il y a plus de deux semaines par les syndicalistes.
Dans un communiqué, l'Office nationale du tourisme de Madagascar (ONTM) "en appelle au sens de la responsabilité" des syndicalistes et de la direction d'Air Madagascar.
L'Office met en garde contre les "conséquences désastreuses en matière d'emplois qu'une haute saison touristique manqué pourrait engendrer pour les opérateurs, pour les 38.000 employés directs et leur famille".
Le Groupement des entreprises de Madagascar (GEM) avertit dans un communiqué que "les activités de production et de commercialisation sont mises en péril pour les entreprises dépendant du transport aérien".
Le GEM se dit inquiet "du vrai risque que faute de matières premières et d'intrants, certaines entreprises soient contraintes de passer en chômage technique".
"Tout ceci va contribuer à dégrader l'image de Madagascar et compromettre le retour de la confiance", relève le GEM, qui estime que la situation actuelle "pénalise non seulement les entreprises, exportatrices ou non, touristiques ou non, mais aussi tous les voyageurs nationaux et internationaux qui sont littéralement pris en otage".
Dans un communiqué, l'Office nationale du tourisme de Madagascar (ONTM) "en appelle au sens de la responsabilité" des syndicalistes et de la direction d'Air Madagascar.
L'Office met en garde contre les "conséquences désastreuses en matière d'emplois qu'une haute saison touristique manqué pourrait engendrer pour les opérateurs, pour les 38.000 employés directs et leur famille".
Le Groupement des entreprises de Madagascar (GEM) avertit dans un communiqué que "les activités de production et de commercialisation sont mises en péril pour les entreprises dépendant du transport aérien".
Le GEM se dit inquiet "du vrai risque que faute de matières premières et d'intrants, certaines entreprises soient contraintes de passer en chômage technique".
"Tout ceci va contribuer à dégrader l'image de Madagascar et compromettre le retour de la confiance", relève le GEM, qui estime que la situation actuelle "pénalise non seulement les entreprises, exportatrices ou non, touristiques ou non, mais aussi tous les voyageurs nationaux et internationaux qui sont littéralement pris en otage".
Les revendications des syndicalistes d'Air Madagascar portent sur le paiement des cotisations de retraite, qui n'auraient pas été versées, la nécessité d'indépendance de la gestion de la compagnie et la démission du ministre du Tourisme, du président du conseil d'administration et d'autres membres du comité de direction, qu'ils accusent d'être à l'origine de la quasi-faillite de la compagnie.
Le problème financier d'Air Madagascar remonte en fin 2014. La direction de la compagnie procède au renouvellement de la flotte cette année dans le cadre d'un plan de redressement.
Selon Hery Rambeloson, directeur commercial d'Air Madagascar, lundi dernier, le taux de remboursement des billets a atteint 28%, contre 1 à 5 en temps normal, avec des recettes de 93.000 dollars, contre 400.000 à 500.000 dollars en temps normal.
Source: Agence de presse Xinhua
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