Les comoriens retourneront aux urnes d'ici quelques mois pour élire leur président de la République, qui doit être INCONTESTABLEMENT un...
Les comoriens retourneront aux urnes d'ici quelques mois pour élire leur président de la République, qui doit être INCONTESTABLEMENT un NATIF de l'île autonome de Ngazidja conformément à l'esprit et à la pratique de notre constitution en vigueur révisée en 2009 par la volonté de l'ancien président, Mr Sambi.
Néanmoins, l'opposition soit disant unie par les cœurs, selon Me Larifou du parti RIDJA, ne cesse de procéder sans relâche à des manœuvres susceptibles de créer un climat d'instabilité, en soutenant la candidature de Mr Sambi, qui, il faut le rappeler a déjà présidé le pays en tant que NATIF de l'île d'Anjouan. Ceci par une interprétation sélective, démagogique et limitée de notre constitution.
Face à ces agissements dangereux et irresponsables qui n'ont comme seul but, la déstabilisation du pays pour des fins personnelles et égoïstes, la responsabilité et le rôle de la Cour Constitutionnelle garante et juge de la constitutionnalité des lois et de la stabilité institutionnelle (article 36 de la constitution), a un caractère primordial sans précédent plus particulièrement, pendant la phase de validation des candidatures.
Dans cette phase, la décision de la Cour constitutionnelle doit être sans équivoque:
REJETER et déclarer IRRECEVABLE la candidature de Mr Sambi et de toute autre comorien, qui ne serait pas natif de l'île autonome de Ngazidja et ce pour raison d'incompatibilité avec l'esprit et la genèse même de notre constitution en vigueur.
Membres de la Cour constitutionnelle:
Avoir le courage patriotique de prendre cette décision, fera honneur à votre institution et permettra par voie de conséquence de pérenniser cette stabilité politique et institutionnelle retrouvée.
Je suis certain qu'au moment venu, vous prendrez sans hésitation la bonne décision qui fera des vous, des défenseurs de l'unité nationale, car l'inverse, constituerait un dangereux précédent pour notre pays, dont on ne mesure pas les conséquences.
j'ose espérer que l'opposition acceptera votre décision car comme l'a brillamment déclaré Me Larifou au meeting de Paris: "Seule la Cour constitutionnelle pourra statuer sur la recevabilité des candidatures en 2016".
Hassane NAHOUZA (Amir)
Néanmoins, l'opposition soit disant unie par les cœurs, selon Me Larifou du parti RIDJA, ne cesse de procéder sans relâche à des manœuvres susceptibles de créer un climat d'instabilité, en soutenant la candidature de Mr Sambi, qui, il faut le rappeler a déjà présidé le pays en tant que NATIF de l'île d'Anjouan. Ceci par une interprétation sélective, démagogique et limitée de notre constitution.
Face à ces agissements dangereux et irresponsables qui n'ont comme seul but, la déstabilisation du pays pour des fins personnelles et égoïstes, la responsabilité et le rôle de la Cour Constitutionnelle garante et juge de la constitutionnalité des lois et de la stabilité institutionnelle (article 36 de la constitution), a un caractère primordial sans précédent plus particulièrement, pendant la phase de validation des candidatures.
Dans cette phase, la décision de la Cour constitutionnelle doit être sans équivoque:
REJETER et déclarer IRRECEVABLE la candidature de Mr Sambi et de toute autre comorien, qui ne serait pas natif de l'île autonome de Ngazidja et ce pour raison d'incompatibilité avec l'esprit et la genèse même de notre constitution en vigueur.
Membres de la Cour constitutionnelle:
Avoir le courage patriotique de prendre cette décision, fera honneur à votre institution et permettra par voie de conséquence de pérenniser cette stabilité politique et institutionnelle retrouvée.
Je suis certain qu'au moment venu, vous prendrez sans hésitation la bonne décision qui fera des vous, des défenseurs de l'unité nationale, car l'inverse, constituerait un dangereux précédent pour notre pays, dont on ne mesure pas les conséquences.
j'ose espérer que l'opposition acceptera votre décision car comme l'a brillamment déclaré Me Larifou au meeting de Paris: "Seule la Cour constitutionnelle pourra statuer sur la recevabilité des candidatures en 2016".
Hassane NAHOUZA (Amir)